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Votre thyroïde supporte-t-elle votre rythme de vie ?

Le Papillon est le symbole de la métamorphose, de la transformation, du changement vers ce qu’il y a de plus élevé.

Il nous enseigne à transformer consciemment nos vies, de laisser nos désirs se réaliser, et de créer de nouvelles situations pour améliorer le quotidien.

 

La thyroïde marque le lien entre les racines profondes de l’individu qui nourrissent ses désirs et sa réalisation.

 

L’eau est l’expression de notre potentiel ancestral, elle porte la mémoire de nos aïeuls. Ce potentiel vital est au service de l’évolution de l’individu.

La forme de papillon de la thyroïde prend alors tout son sens, le terrestre (chenille) permet à l’individu de s’élever vers sa transformation (papillon).

 

 

Introduction :

 

La glande thyroïde est un organe en forme de papillon situé au-dessous du larynx. En général la glande pèse 30g.

Dans le domaine de l’énergétique, elle porte le nom de palais de la croissance car elle joue un rôle fondamental dans le développement de l’individu.

D’abord dans la croissance osseuse dans l’enfance puis dans sa réalisation à l’âge adulte.

 

Rôle et fonctionnement de la thyroïde :

 

Les hormones thyroïdiennes régulent:

  • L’utilisation d’oxygène et l »activité du métabolisme basal.
  • Le métabolisme cellulaire
  • La croissance et le développement.

 

L’ iode est indispensable à la thyroïde. On l’apporte par l’eau ou certains aliments.

 

La thyroïde secrète 2 hormones dites peptides :

  • la thyroxine ou t4
  • la triiodothyronine ou t3.

2 autres organes exercent une action sur la thyroïde

 

L’hypophyse : produit une hormone qui stimule la thyroïde. La TSH.

La TSH permet à son tour la production des hormone thyroïdiennes t3 et t4.

 

L’hypothalamus : produit la TRH qui régule la sécrétion de la TSH.

Lorsque le taux d’hormones thyroïdiennes diminuent, l’hypothalamus secrète la TRH, qui stimule l’hypophyse pour libérer la TSH, qui va stimuler à son tour les t3 et t4, ce qui rétablit le taux sanguin normal

 

 

Ainsi les hormones thyroïdiennes régulent l’expression de la vie en nous 

 

En excès le système est hyper-sollicité et épuise ses réserves, en insuffisance l’individu s’effondre et devient apathique.

 

Causes :

Toutes les pathologies de la thyroïde sont mises en lien avec une difficulté de croissance, d’ordre physique, émotionnel ou psychique.

  • Un changement dans son environnement,
  • un bouleversement émotionnel,
  • un stress chronique,
  • un déséquilibre métabolique ou alimentaire
  • Un manque d’activité physique
  • Peu ou pas de temps de pause.
  • Mauvaise hygiène de sommeil

et tout peut se détraquer.

 

Dimension énergétiques et émotionnelles :

Ces deux paramètres jouent un rôle majeur sur l’équilibre de la thyroïde.

Cette glande appartient à la famille des glandes hormonale ET humorale.

Les humeurs faisant références autant aux liquides qu’au humeurs émotionnelles.

La thyroïde appartient au chakra de la gorge, premier niveau énergétique en lien avec le mental. Il parle des premières étapes de l’évolution de l’enfant par son expression et son identité.

Dans la lecture énergétique, les troubles thyroïdiens ont toujours pour origine une problématique liée à l’expression de soi.

Elle peut être physique si l’individu a été brimé à un moment de son existence.

Elle peut être d’ordre psychique si l’individu s’interdit de réaliser des projets de vie parce qu’il ne s’en pense pas capable ou n’a pas assez de temps ou s’auto sabote.

 

Il est donc nécessaire de prendre en compte autant l’aspect et les causes physiques, qu’émotionnelles et énergétique dans la démarche de rééquilibrage de la thyroïde.

 

 

Les principales maladies de la thyroïde sont :

L’hypothyroidie : 

qui se caractérise par une diminution de la production de t3 et t4.

Causes :

  • Traitement de la maladie de Basdow
  • Stress chronique
  • Carences alimentaires
  • Épuisement nerveux
  • Chocs émotionnels violents et récurrents
  • Exposition radioactive.

 

Les symptômes :

  • Manque d’énergie et de la fatigue.
  • Frilosité
  • Gain de poids
  • Ralentissement cardiaque
  • Irritabilité avec possible état dépressif.
  • Constipation.
  • Peau pale et sèche.
  • Perte de cheveux
  • Pertes de mémoire et difficultés à se concentrer
  • Règles irrégulière et /ou très abondantes.
  • Voix plus grave et enrouée.
  • Apparition d’un goitre.

 

Diagnostic :

  • La prise de sang avec un dosage des t3, t4 et TSH est nécessaire si plusieurs des symptômes décrit sont ressentis.

 

Évolution :

  • Si les dosages sont déséquilibrés il est nécessaire de surveiller et de suivre un traitement.
  • La prise en charge précoce permet de se diriger vers des solutions naturelles en rééquilibrant les causes et des compléments alimentaires qui stimulent la thyroïde.

Toutefois la surveillance médicale reste indispensable pour vérifier l’évolution.

 

L’hyperthyroidie:

Production excessive des hormones thyroïdiennes.

État de feu général.

Causes :

  • Stress Chronique
  • Maladie de Basedow
  • Nodules thyroïdien
  • Inflammation de la thyroïde de nature infectieuse ou autre
  • Prise de médicament riches en iode (hypotenseurs)
  • Trouble du fonctionnement de l’hypophyse.
  • Course contre la montre

 

Symptômes :

  • Palpitations cardiaque
  • Augmentation de la transpiration et bouffées de chaleur.
  • Tremblements.
  • Insomnie
  • Saute d’humeur
  • Nervosité
  • Selles fréquentes
  • Faiblesse musculaire
  • Souffle court
  • Perte de poids
  • Diminution, voir arrêt des règles
  • Sensibilité au niveau des yeux.

 

Diagnostic :

  • À la prise de sang on constate une baisse de TSH et une augmentation de la t4.

 

Traitements :

  • Anti thyroïdien empêchant la production excessive de nouvelles hormones.
  • Traitement à l’iode actif pour détruire une partie de la glande et ainsi réduire la sécrétion d’hormones.

 

Ces traitements entraînent le risque de faire apparaître une hypothyroïdie.

Une hyperthyroïdie non descellée peut par effondrement entraîner une hypothyroïdie, c’est pourquoi il est plus fréquent de parler d’hypothyroïdie.

 

Décodage biologique :

Mettre des mots sur les maux. Le décodage biologique permet une approche plus subtile et pourtant assez parlante de l’évolution des maux de la vie et leur sens sur la compréhension que notre corps essaye d’exprimer.

Thyroide :

La principale fonction de la thyroïde est de réguler le métabolisme cellulaire de base, d’être le carburateur, l’accélérateur au niveau des combustions cellulaires.

  • Nécessité de fuir au plus vite pour échapper au prédateur.
  • Conflit de na pas recracher le morceau assez vite.
  • Puisque mes seules possibilités physiques ne me permettent pas de réussir, il faudrait que je trouve une autre solution plus performante en terme de rapidité.
  • Impuissance de ne pas pouvoir agir assez vite face à un danger qui vient sur moi.
  • J’en suis incapable vu que j’ai tellement d’autre choses à faire.
  • Conflit lié à l’accélération ou au ralentissement du temps.
  • Conflit de non reconnaissance de ma vie. Il y a quelque chose en moi que mon clan ne reconnait pas.
  • J’ai le droit de vivre à la condition que….
  • Conflit de ne pas être né dans le bon sexe.

 

Hyperthyroidie :

  • Il faut aller plus vite, le temps manque. Je ne peux rien faire alors que c’est urgent.

 

Hypothyroidie :

  • Il faut ralentir, le temps va trop vite.
  • Compte tenu du résultat terrible que je redoute du fait que j’ai été trop vite, il faut ralentir à tout prix l’éxecution des choses.

Tout en gardant la capacité de ré-accélérer vite si nécessaire pour faire face à de nouveaux dangers (nodules froids ou goitre).

 

 

Les solutions naturelles :

 

  • Apporter à l’organisme les nutriments nécessaires au bon fonctionnement de l’organe.
  • Économiser l’organe en évitant de trop le stimuler en particulier s’il est déjà fragilisé.

 

En cas de stress chronique et d’épuisement du système nerveux, c’est la thyroïde qui prendra le relais pour tenir le coup.

Le risque c’est son épuisement à moyen terme.

Ralentir son rythme de vie :

Arrêtons de courir après le temps, en ayant toujours l’impression d’être toujours débordé. Cela sur-stimule notre thyroïde.

  • Réalisez de mini-pauses régulières.
  • Prenez le temps de vous poser 5 minutes toutes les heures avec des respirations calme et régulières.
  • Faire une sieste flash de 10 minutes après le déjeuner.
  • Gérer son emploi du temps en prévoyant ces temps de pause.
  • Prioriser les choses indispensables et oublier les urgences des autres.

 

Contact avec la nature :

  • Une promenade dans la nature régulièrement.
  • Du jardinage ou marcher pieds nus dans l’herbe.
  • Le simple contact des pieds avec la terre permet de recharger nos batteries intérieures et d’éliminer les charges positives (electricité statique) qui sur-électrisent notre organisme et épuisent nos réserves glandulaires.

Il existe des tapis de décharge pour les personnes régulièrement sur ordinateur.

 

Alimentation spécifique

A vérifier avec votre médecin si vous prenez un traitement style levothyrox

Pour produire les hormones thyroïdiennes la thyroïde à besoin d’une quantité suffisante d’oligo aliments.

Notamment d’iode, zinc et sélénium.

  • Iode : poissons de mer, huîtres, algues, sel de table.
  • Sélénium : huître, thon, noix du Brésil
  • Zinc: fruits de mer, surtout les huîtres, le bœuf, le foie.

 

Attention à l’iode en fonction de votre morphologie.

Si les embruns du grand large vous apportent sommeil et sérénité ; alors l’iode est faites pour vous. Si au contraire cela vous énerve et vous rend irritable, il sera nécessaire de limiter les aliments iodés.

 

Les aliments à éviter :

Certains aliments empêchent ou perturbent la fabrication des hormones thyroïdiennes en empêchant l’iode d’entrer dans la thyroïde ou en interférant avec l’enzyme qui permet de fixer l’iode à la tyrosine.

Si vous avez un dérèglement de la thyroïde il est donc préférables d’éviter :

  • Les crucifères (choux, brocolis, épinards, navets, rutabagas)
  • Certains féculents (mais, haricot lima, graines de lin, patates douces, pusses de bambou, cacahuète, racine de manioc).
  • Les aliments à base de soja : tofu, tempech, edmame, lait de soja et tout produits « lacté » de soja).
  • Certains fruits : pêches, poires, fraises.

Attendre 4h avant toute absorption de calcium ou aliment assimilé et de fer qui eux aussi diminuent l’absorption de la thyroxine.

Le fait de cuire ces aliments aide à réduire l’enzyme perturbatrice. Si vous devez consommer ces aliments, faites les cuire.

En cas hyperthyroïdie : les excitants comme le café, le thé, les sodas (coca) sont à proscrire.

 

Exercice physique à moduler :

Si vous êtes atteint d’hypothyroïdie, une pratique sportive va aider à remuscler et stimuler la baisse du métabolisme.

  • La marche
  • la natation d’intensité modérée

En cas hyperthyroïdie une activité sportive relaxante, tel que :

  • le tai-chi,
  • le qi-cong,
  • le pilate,
  • le strethching,
  • le yoga

 

Les compléments alimentaires :

Il est possible aussi d’aider l’organisme avec l’aide de compléments alimentaires qui devront toutefois être pris en fonction de chaque individu et de son état et avec beaucoup de prudence, en cas de traitement médicamenteux.

Le conseil de votre médecin ou l’aide en naturopathie en accord avec votre médecin peut dans ce cas être envisagé.

 

Conclusion :

Une bonne gestion :

  • de ses rythmes de vie,
  • de sa vie émotionnelle,
  • des temps de pauses,
  • un sommeil régulier,
  • une activité physique adaptée
  • un contact régulier avec la nature,
  • une alimentation spécifique et équilibrée
  • une diminution de prise de stimulants

aura une influence très positive sur des troubles thyroïdiens naissant.

 

 

référence :
  • dictionnaire abrégé du sens des maux : Bernard Tihon
  • Ostéopathie énergétique : par david sayag
  • Comment soutenir sa thyroide : jean brice thivent (magazine neosanté)
  • Naturopathie et pnns : corinne allemoz
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Corps émotionnel Corps psychique

Que faire quand on a envie de rien ?

 Il faut entretenir la vigueur du corps pour conserver celle de l’esprit.

 Vauvenargues 

 

Introduction :

Au cœur de l’hiver et avec l’arrivée réelle et bénéfique du froid nous sentons en nous cette envie de rien qui s’installe.

Le froid et l’hiver sont pourtant des périodes bénéfiques car comme les plantes nous avons besoin de refaire descendre notre sève intérieure pour mieux nous fortifier et renaître en pleine forme au printemps.

 

Evidemment cette descente de sève, a un petit inconvénient dans notre société hyperactive et qui ne respecte plus les saisons…. C’est que nous nous retrouvons avec une bonne flemme et pas du tout envie de courir ou de nous agiter.

Epoque de l’année aussi, où les rhumes, gastro, lendemain des fêtes et fatigue que cette descente de sève entraîne, nous porte plutôt à vouloir nous « cocooner ».

 

Alors comment traverser cette période hivernale en gardant son énergie, sa vitalité tout en permettant à notre corps ce moment de pose et de retour à soi ?

Voici mes conseils pour vous ressourcer en douceur tout en respectant votre hygiène de vie globale… sans chocolat !!

 

Conseil n°1 : Reposez-vous

A cette époque de l’année la nature tourne au ralenti.  Comme elle, couchez-vous de bonne heure et dormez peut-être un peu plus que d’habitude. Vous ne vous en sentirez que mieux.

 

Le sommeil est bénéfique à notre équilibre et bien-être global.

Vous pouvez s’il n’est pas toujours là lire l’article complet écrit à ce sujet ci-dessous :

Sommeil la moitié de la santé.

 

 

Conseil n°2 : Mangez et buvez chaud :

Quand on est d’un naturel frileux manger du cru ou froid peut perte difficile.

 

Voici une petite recette pour garder les vitamines du cru tout en mangeant chaud:

  • dans un bol, émincez des crudités et couvrez les avant de les déguster d’un bouillon de légumes (un bouillon cube bio dilué dans l’eau peut faire l’affaire).
  • Dégustez de suite, vous garderez les bienfaits du cru, en vous réchauffant.

 

La soupe « classique » de légumes peut aussi être ajoutée aux crudités.

Côté boissons, usez et abusez des tisanes : alternez la tisane de thym (pour renforcer votre immunité) et celle de romarin (pour aider votre foie et vous tonifier).

Vous pouvez aussi boire des tisanes tonifiantes et dépuratives que vous trouverez facilement en magasin bio.

 

Conseil n°3 : Pensez à la vitamine C: 

Si vous ne souffrez pas d’insuffisance rénale, d’excès de fer et que vous ne prenez pas de médicaments pour le cœur, allez-y!

Choisissez une vitamine C de bonne qualité (l’acérola en magasin bio est souvent très bien) et prenez en 1 g / jour (ça peut paraître beaucoup mais les quantités qu’on vous conseille officiellement sont insuffisantes. Sous réserve d’une vitamine C de bonne qualité et si vous n’avez pas les problèmes de santé cités plus haut).

Ce qui ne gâche rien, la vitamine C améliore le métabolisme des graisses : il ne faudrait pas s’en priver.

 

Conseil n°4 : Réchauffez-vous:

  • Bouillottes,
  • Bains chauds (suivis d’une douche fraîche),
  • Sauna,
  • Hammam,
  • Sport, tout est bon pour vous réchauffer.

 

Je vous rappelle que si votre corps est à 37° en moyenne, quand on est de nature frileux, il est plutôt aux alentours de 36.5°c.

Or, votre foie et vos reins filtrent à 41°… En hiver ils peinent. Couvrez-vous bien et offrez-leur de la chaleur.

Il y a une époque pas si lointaine après tout, où il était courant de mettre des ceintures de flanelles autour de la taille pour maintenir nos organes au chaud. Une autre bonne façon de garder sa chaleur corporelle avec du polaire autour de la taille par exemple.

 

Conseil n°5 :  stretching et/ou auto massages 

Si vous n’avez pas envie de sortir pour faire du sport, faites des étirements doux ou des auto massages

Cela préparera vos muscles pour le moment où vous serez prête à vous remettre en mouvement.

Vous pouvez aussi essayer des sports doux comme :

  • le Qi cong,
  • le yoga,
  • le pilate,
  • le tai chi
  • le wutao

 

Toutes ces disciplines allient étirement et renforcement musculaire tout en douceur et font chauffer le corps en permettant la circulation énergétique.

 

Si vous appliquez ces 5 conseils durant deux à trois semaines, les frimas de février ne seront rien pour vous et vous serez plus fort(e) pour tenir l’hiver en pleine vitalité.

 

Et pour donner un coup de pouce supplémentaire je vous invite à relire l’article sur les bienfaits de la positivité  en cliquant ICI.

 

 

 

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Fréquence vibratoire et bien-être sans stress

 

Parfois dans la vie, on a le sentiment de croiser des gens du même univers que nous. Des humains, différents des autres, qui vivent sur la même longueur d’onde, ou dans la même illusion.

Agnès Ledig (Juste avant le bonheur)

 

 

Et vous, sur quelle fréquence vibrez-vous ?

 

Le vibratoire fait partie intégrante de notre vie. Et tout notre corps répond à ces fréquences diverses qui nous traversent au quotidien.

Notre cerveau lui-même en fonction de nos activités vibre sur des fréquences différentes.

 

Le son et la fréquence des sons ont une influence directe sur notre bien-être et/ou notre mal-être.

Pour imager cela, voici des liens vers deux séquences de musiques. [1]

Par sa sonorité provoque soit une sensation de malaise, d’angoisse et de vertiges :

 

                Lien : https://www.youtube.com/watch?v=AVBIziFmMmk&feature=youtu.be

 

Soit une sensation de bien être et d’harmonie avec paix et joie intérieure, en harmonisant les deux hémisphères de notre cerveau :

 

                Lien : https://www.youtube.com/watch?v=faWCDdMYw4c&feature=youtu.be

 

 

Dans notre corps, la science utilise beaucoup de méthodes pour mesurer les fréquences que nous émettons et notamment au niveau cérébral :

  • Electro-encéphalogramme
  • Rythme cardiaque
  • Tension artérielle
  • Tension musculaire
  • Température de la peau
  • Test de l’attention.

 

La fréquence est comme pour les émissions de radios, une émission d’ondes qui permet de recevoir une information.

 

On divise les ondes cérébrales en 5 catégories, selon leur niveau de fréquence.

 

Ces ondes émises à des fréquences différentes dans notre cerveau, nous permettent donc de recevoir des informations différentes pour notre corps.

  • Ondes Gamma
  • Ondes Beta
  • Ondes Alpha
  • Ondes Theta
  • Ondes Delta

 

1- Ondes Gamma :

Elles ont une fréquence en 50 et 100Hz. C’est la plus haute fréquence que peut émettre (à ce jour découvert) notre cerveau.

C’est un état de pleine conscience.

Cette fréquence permet (grâce aux expériences faites sur des singes, en observant les vibrations qu’ils émettaient en fonction des sollicitations proposées), la cognition, soit la capacité d’apprentissage, et la conscience des événements et des objets qui nous entourent , de traiter l’information reçue et le stockage de cette information dans notre mémoire.

 

Les ondes Gamma favorisent :

  • La créativité
  • Le dynamisme mental
  • L’attention et la coordination
  • Le développement du potentiel cérébral
  • La suppression des blocages psychologiques.

 

Stimuler nos ondes Gamma permet d’améliorer toutes ces capacités (expérience réalisée sur des enfants de 6 à 17 ans et qui ont vus leurs résultats scolaires s’améliorer).

 

Pour ce faire voici un lien qui permet cette stimulation grâce à une musique émettant cette fréquence :

                Lien : https://www.youtube.com/watch?v=smnFGMjGFP4

 

2- Ondes Beta :

Elles ont une fréquence entre 12 et 27 Hz. Ce sont aussi des ondes de pleine conscience.

Ces ondes sont présentes quand nous sommes dans un parfait état d’éveil et en pleine possession de nos moyens (physiques et psychologiques). C’est l’état mental dans lequel nous sommes en journée.

Elles sont directement liées à ce que nous sommes en train de faire, de penser, ou de ressentir.

Un manque d’activité de ces ondes peut provoquer des troubles émotionnels pouvant aller jusqu’à la dépression, l’insomnie ou l’hyperactivité.

Elles peuvent être aussi liés à des états d’excitation forte. Certains médicaments réduisant l’hyper activité, mettent le cerveau sur la fréquence Beta.

 

Leur stimulation améliore :

  • La concentration
  • L’apprentissage
  • La mémorisation
  • La résolution de problèmes
  • Le passage à l’action
  • La réduction de l’état de fatigue

 

Lien : https://www.youtube.com/watch?v=HA6nSQawROM

 

3- Les ondes Alpha :

Elles ont une fréquence entre 8 et 12 Hz. Elles sont émises quand nous sommes éveillés et détendus.

Un état de détente et de calme intérieur génère des ondes Alpha. Elles peuvent donner une sensation de flottement.

Elles sont révélatrices d’un état d’esprit créatif.

 

Ces ondes réduisent :

  • Le stress et l’anxiété
  • Soulage les douleurs
  • Améliore la mémoire

 

Elles favorisent :

  • La relaxation
  • La détente
  • Les pensées calmes et positives
  • La visualisation mentale
  • Le soulagement des douleurs (chronique ou passagères)

 

Cette fréquence est atteinte en état méditatif. Dès que nous fermons les yeux les ondes Alpha apparaissent t commencent à se répandre dans le cortex cérébral.

 

Ce mécanisme de détente fait aussi partie du processus de relaxation avant l’endormissement.

                Lien : https://www.youtube.com/watch?v=5VI78Q27RaI

 

4- Les ondes Theta

Elles ont une fréquence entre 3 et 8 Hz. Elles sont émises quand nous sommes détendus et en état de sommeil léger.

Elles sont liées à la relaxation et aux premiers stades de sommeil.

 

Elles favorisent :

  • La méditation profonde
  • Les rêves
  • L’état hypnotique
  • La diminution du stress et de l’anxiété
  • La maîtrise des peurs et des réactions émotionnelles excessives

 

La stimulation de ces ondes nous mettent dans un état d’hypnose qui permet de réduire l’anxiété, mais permettent aussi une meilleure plasticité cérébrale, un meilleur sommeil. Leur émission correspondant à l’état 1 du sommeil, dit sommeil léger.

 

Un état méditatif zen permet l’émission de ces ondes Theta.

                Lien : https://www.youtube.com/watch?v=z8T0sq4cdSc

 

5- Les ondes Delta :

Elles ont une fréquence entre 0.2 et 3 Hz. Elles sont émises quand nous sommes en état de sommeil profond.

Elles sont émises aux stades 3 et 4 du sommeil.

 

La stimulation par ces ondes de très basses fréquences ont permis de constater une amélioration :

  • Des migraines (14 migraines sur 15 après une stimulation de 5 minutes)
  • De l’anxiété (+26.3% d’amélioration)
  • Une meilleure qualité de sommeil et une réduction sensible de la sensation de fatigue.
  • Une augmentation du système immunitaire
  • La récupération mentale et physique

 

Stimuler ces ondes quand nous sommes éveillés a montré des avantages supplémentaires de détente et de relaxation et le soulagement de certains types de douleurs.

                Lien : https://www.youtube.com/watch?v=yb5mIZm5bcQ

 

Conclusion :

La découverte des ondes cérébrales est assez récente, toutefois l’entrainement du cerveau existe au travers des chants, de la musique, des tambours depuis des millénaires.

Les scientifiques tels que Tesla ont montré que tout est vibration et que tout ce qui nous entoure est énergie vibratoire.

 

Pour aller plus loin :

Il existe sur internet des musiques qui permettent de se mettre sur différentes fréquences et que j’utilise quand je ressens le besoin de ré-harmoniser mon corps et mon cerveau.

Grâce à la fréquence d’une musique, il est possible de se mettre en résonance avec nos cellules et de permettre ainsi une sécrétion hormonale apaisante et relaxante ou stimulante en fonction de nos besoins du moment.

 

Une expérience sur les végétaux avait montré que la musique de Mozart accélérait la croissance des plantes qui « l’écoutait » vibratoirement bien sûr.

Il en est de même pour nous. En nous branchant sur les différentes fréquences vibratoires de notre corps, nous changeons notre chimie intérieure.

 

Une musique comme celle, ci-dessous, qui émet une musique à une fréquence de 432Hz, va permettre la sécrétion d’endorphine, et de sérotonine, et ainsi diminuer le stress et l’anxiété.

 

                Lien : https://www.youtube.com/watch?v=5Fq1Q-jGw08

Cette fréquence de 432Hz étant celle de notre planète.

 

Il existe des fréquences encore plus hautes comme celle de l’amour par exemple qui nous fait vibrer à 528Hz quand nous sommes dans un état d’amour, et influence là encore notre chimie interne. C’est une fréquence qui a une véritable influence sur nos cellules et notre ADN.

 

                Lien : https://www.youtube.com/watch?v=SNykLYJYles

 

Bonnes Résonances et bien-être à vous.

 

Ref :
[1] Alex michel : tout savoir sur les ondes cérébrales – pouvoir énergétique – les fréquences sacrées
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Corps spirituel

Le féminin en Soi

 

Je ne suis pas ce qui m’est arrivé, je suis ce que je décide de devenir.

Carl Jung

 

 

 

Quand je suis née, j’étais désirée garçon… en grandissant je suis devenue garçon manqué et j’ai développé mon masculin… d’autant plus que l’on avait blessé mon féminin.

Arrivée à l’adolescence la façon de vivre de mes parents, m’a fait avoir une autre injonction…. ne pas être dépendance d’un homme pour subvenir à mes besoins… ce qui a renforcé la guerrière et le masculin en moi.

 

Toutefois pour vivre en équilibre nous avons besoin de trouver ce qui nous complète…. et mon conjoint est arrivé dans ma vie et qui chemine à mes côté depuis 37 ans… ayant un féminin plus développé.

Cela a convenu à ma Volonté masculine de programmer ma vie selon mon mental et non selon mon être intérieur.

 

Jusqu’à 42 ans cela a tenu la route

 

Et mon être intérieur, mon âme s’est mise à pleurer… je me suis sentie malheureuse et triste…. signe de la sagesse que j’étais sur la mauvaise route d’une vie heureuse et bonne.

Pourtant j’avais tout pour être heureuse…. Un mari aimant, des enfants épanouis, un travail bien rémunéré et intéressant…. et pourtant il manquait quelque chose que mon corps dans sa souffrance quotidienne (douleurs articulaires et digestives) exprimait avec de plus en plus de force.

Cette prise de conscience, m’a ouverte sur l’extérieur, sur l’altruisme envers les autres, le don de soi, part féminine en moi qui voulait s’exprimer et vivre.

Toutefois, la guerrière et son masculin était toujours là….

 

Et au fil de mon évolution consciente et « éveillée », soit depuis 12 ans maintenant, La Femme a voulu retrouver sa place… sans supplanter le masculin, mais Etre en équilibre et en harmonie avec lui.

 

Cette quête, je l’ai trouvé dans différentes activités : les cours que je donne à mes mamies ou dans le tai chi dans sa partie bien être, opposée au côté martial…. mais je n’arrivais pas le trouver en Moi….

 

en 2014 grâce à un burn out, j’ai découvert que je pouvais être vulnérable sans perdre ma force intérieure.

 

 

Créer et développer mon activité professionnelle de naturopathe et facilitatrice de vie, a encore mis la Femme en retrait et fait ressortir la guerrière…. et je me suis rendu compte que les personnes qui venaient me voir, avait la même problématique que la mienne à cause de leur masculin trop développer….

On ne peut transmettre que ce que l’on expérimente et ce que l’on vit…. Comment aider des femmes, à trouver leur féminin quand sur beaucoup de plans j’étais encore dans ce masculin dominant ?

Toutefois, j’ai pris encore conscience que :

 

c’est toute ma féminité qui a crée ce que je donne et transmets aujourd’hui avec sensibilité, générosité, bienveillance et guidance.

 

Expression de ce féminin que nous portons toutes en nous et que j’ai la joie de transmettre aussi dans le cadre d’un cercle de femme crée spécialement avec tout mon Féminin intérieur.

 

Toute cette recherche a permis l’émergence de cette Femme en moi, qui accepte de s’aimer telle qu’elle est ; forte et vulnérable à la fois.

Qui donne avec amour et aide les autres à se trouver elles-mêmes.

Cette Femme qui accepte de se faire confiance, en développant cette sensibilité qui a toujours été là et pourtant rejetée car signe de faiblesse…Alors que c’est la plus grande force que l’on peut avoir en soi en tant que Femme.

 

Cette Femme qui accepte ses peurs, qui permet au masculin dominant en Soi, de lâcher prise et laisse au Féminin le droit de se dévoiler et de vivre….

 

Équilibre de deux forces de vies.

 

Oui, j’accepte d’être cette Femme qui guide avec force et vulnérabilité, afin d’aider au mieux de ses capacités d’autres femmes à se révélées.

 

Au début de cette année je suis allée en Laponie où j’ai observé la façon des « mucher » d’atteler un traîneau et j’ai compris quelque chose, sur ma mission de vie et cet équilibre du féminin- masculin en Soi.

 

Au plus près du traîneau, on place les mâles forts… certains sont calmes et posés et d’autres un peu fous et impatients de courir.

Au milieu celui qui n’est pas mur, que l’on ne peut cataloguer, mâle ou femelle dans son comportement qui n’a pas la force et ne peut tirer ou la capacité de mener.

Devant des femelles, car elles savent le chemin et celle de tête qui sait calmer celui du milieu et diriger ceux de derrière.

L’autre femelle prend appui souvent pendant la course sur cette femelle de tête meneuse.

 

Pour plaisanter, le conjoint d’un couple d’amis m’a souvent comparé à cette femme meneuse, mais par l’exemple de ce qu’elle dégage…. Cela m’a fait plaisir et fait prendre conscience de cet équilibre entre le féminin qui veille et calme et le masculin en soi qui mène et guide.

 

Alors Oui, nous avons toutes besoin de cet équilibre Yin-Yang en nous…A la fois dans l’action et dans la captation.

Et tout ce chemin parcouru pendant ces 55 dernières années me donne la joie et le bonheur de pouvoir le partager et le transmettre aujourd’hui …..

 

Merci la vie.

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Changer ses habitudes sans effort et sans stress

 » C’est dans la facilité que se niche la clé de la félicité ».

                                                                      Olliver Pourriol

Pourquoi faudrait-il toujours faire des efforts immenses pour faire la moindre chose?

Notre société oblige à un train d’enfer en permanence.

Société, où l’illusion de la performance nous fait perdre notre vraie nature. Où il est nécessaire pour être au top, dès le réveil, de se greffer 3 têtes, 5 paires de bras et autant de paires de jambes.

Travail, maison, enfants…tout est sujet de pressions et de stress qui finissent par nous épuiser au lieu de nous amener sur l’objectif visé…. le « vivre mieux”.

Et pourquoi, nous mettons-nous ce stress?

On pourrait appeler ça, le syndrome « du bon élève » ou croire qu’efficacité rime avec pression, stress et souffrance.

Et pourtant, en parallèle on nous vante de plus en plus la “zen attitude” (moi la première avec les articles que j’écris) en art de vivre.

Des collections de livres sortent tous les mois en librairie…et pourtant on n’a jamais vu autant de stress, de “burn-out”, de dépressions, de mal-être.

Dans une société qui met ses habitants sous pression, telle que dans une cocotte-minute, rien d’étonnant que le stress augmente dans les statistiques et que les arrêts de travail se multiplient.

Aussi, qu’il s’agisse des conseils que je vous donne régulièrement pour éviter la montée du stress. (Vous les retrouverez en cliquant sur le lien ICI )

Ou encore tous ceux en lien avec l’alimentation et ses facteurs sur le stress intérieur. (Vous les retrouverez en cliquant sur le lien ICI)

Les clés que proposent Ollivier Pourriol et que je voudrais partager avec vous aujourd’hui, associées à mes astuces de vie pour une vie sereine vous apporteront des outils qui je l’espère pourront vous aider.

1- Nul besoin de tout changer [1]:

Est-il besoin de tout jeter au vent dans sa vie?  De changer de travail, de conjoint, d’existence, d’alimentation de façon globale et radicale, de se mettre au sport intensif ?

Tout çà parce qu’on se sent mal dans sa peau ou dans son quotidien?

Vouloir une telle transformation nécessiterait des efforts incommensurables : repartir de zéro…cela parait insurmontable.

La meilleure façon de changer est d’abord de continuer à rester soi-même.

 » Pas de besoin de grands projets, de grandes résolutions » [1] de début d’année, de printemps, de rentrée, que de toute façon, nous ne tenons pas plus de 8 jours.

Suivre son penchant naturel, c’est mettre en place des changements par petites touches, par-ci, par-là.

Voici quelques exemples de mon quotidien :

Alimentation :

Ayant souffert des intestins pendant de longues années, il a bien fallu que je change mes habitudes.

Cela s’est fait progressivement en fonction de mes recherches et des formations.

Aujourd’hui, je veille à cuisiner moi-même mes repas. Pour autant, je n’ai pas le temps d’acheter du frais tous les jours.

J’achète donc mes aliments en grandes quantités et je congèle.

J’ai trouvé des commerçants locaux et/ou soucieux de l’environnement sur mon marché, ça aide pour avoir une meilleure qualité et préserver l’environnement.

Ménage :

A une époque, j’étais tellement “accro” à mon ménage que mon mari, m’avait décerné  » un plumeau d’or »!!

Aujourd’hui, j’ai divisé par 4 mon temps de ménage et cela n’a rien à voir avec le fait que nous ne sommes plus avec nos (grands) enfants à la maison… c’est juste que j’ai décidé de ne plus faire tout, tous les jours.

Travail :

Oui, j’ai fait un virage à 360°, mais si je compte mon nombre d’heures  » travaillées », par rapport à l’époque où j’étais salariée il a été multiplié par 1.5.

Aujourd’hui, la différence est que je ne travaille plus...j’Œuvre, ce qui est nettement différent. Eh oui, je suis très prise, mais je me sens épanouie tous les jours.

Enfants :

Je n’en ai plus (présent à la maison), mais à l’époque où ils étaient plus jeunes, une chose qui me faisait économiser du temps, du stress et de l’énergie…était de les mettre à contribution pour aider aux tâches de la maison.

Ils y ont été habitués dès l’âge de …2 ans!! Eh oui, leur père, leur avait appris à mettre leur linge au sale.. Plus grands ils ont eu d’autres responsabilités…

Quand ils ont été ados, pour eux c’était acquis, et nous n’avons jamais eu de « crises » pour leur non-participation.

Aujourd’hui, ils sont grands, autonomes et vivent leurs vies. Leur retour est qu’ils nous remercient de leur avoir permis d’acquérir cette autonomie par l’aide qu’ils ont contribué à donner à la maison.

2- Avancer sans se retourner [1] :

Bien souvent quand on se lance dans un projet, on s’interroge, on doute, on revient en arrière.

Surtout quand les proches s’en mêlent en vous disant que vous avez fait une erreur….. Il est des fois nécessaire d’aller au bout de ses erreurs pour savoir si c’en est!!

Tourner en rond dans sa tête augmente la pression et le stress. Cela devient de la souffrance mentale.

La solution : tracez votre route, sans vous retourner. Avancez un pas à la fois en gardant confiance en vous.

Cultiver l’imperfection permet de faire le pas suivant. Oui, mes articles ont souvent des fautes…

Quand j’ai pris la décision à la suite de mon “burn-out” de changer de travail et de demander une rupture conventionnelle, j’ai demandé à mon employeur de garder la chose secrète tant que cela ne serait pas effectif.

Je ne voulais pas entendre les commentaires pessimistes et peureux de mes collègues, qui auraient pu me faire changer d’avis… et j’ai bien fait, car quand cela fut officiel, je les ai entendus ces commentaires, mais je ne pouvais plus revenir en arrière assiégée par le doute.

Aujourd’hui, oui il y a des jours difficiles. Mais je continue de regarder devant. De me lever chaque matin en sachant que le choix que j’ai fait, me permet d’être alignée avec ce que je veux donner aux autres et au monde.

Et oui, cela allège ma vie et ma sérénité intérieure.

3- Diviser la difficulté [1]:

Que ce soit au travail ou à la maison, les tâches sont parfois lourdes, répétitives et contraignantes.

La clé : morceler chaque étape.

Quelques exemples qui me simplifient la vie :

Travail :

Quand j’œuvre sur un projet, je commence par en voir les grandes lignes. Puis je le mets en étapes. Et si celles-ci me semblent encore trop grandes, je les redécoupe encore en plus petites.

Pour cela, mon arme absolue est…mon agenda ! … car toute étape se réalise si on lui a laissé un espace-temps suffisant pour ce faire.

Alimentation :

Là encore, comme j’ai consacré du temps certains jours à congeler en grandes quantités, j’ai toujours de quoi faire dans le congélateur. Ainsi, les jours où le temps ne se prête pas pour faire à dîner…je pioche dans celui-ci et vive la cuisson en vapeur douce [2]. Ce qui permet de limiter grandement le temps passé dans la cuisine.

Ménage :

J’y consacre un peu de temps : 15 minutes en moyenne par jour. Pour cela, je fais un truc par-ci par- là, chaque jour. En général le matin avant de commencer ma journée.

Cela permet aussi de progresser dans tout ce que la vie nous amène avec moins de stress.

4- Accepter le destin [1]:

Dernière notion qui peut paraître être la plus difficile.

Accepter ce qui n’est pas sous notre contrôle ou la bêtise que nous ne pouvons pas réparer est parfois compliqué et source de stress.

Vivre les regrets du passé, de tout ce qu’on n’a pas fait, ou qu’on aurait dû faire…revient encore à la souffrance mentale.

« Parfois, il faut accepter ce qui nous arrive« [1].

Quand j’ai fait mon “burn-out”, c’était à la suite d’un « harcèlement ».

Si j’étais restée dans la non-acceptation de ce fait. Si j’avais considéré que j’étais une victime, que c’était « dégueulasse » de vivre çà alors que je n’y étais pour rien… En plus d’un “burn-out”, j’aurais probablement fini avec une dépression sévère.

Alors j’ai accepté, que oui cela m’arrivait, que oui, ce n’était pas juste, mais que rien n’arrive au hasard dans la vie. Que cette vie a toujours un dessein ou une idée derrière la tête (Ah bon, la vie n’a pas de tête ? Allez savoir!!).

J’ai pu transformer ce qui était une catastrophe professionnelle en une magnifique opportunité pour me diriger vers celle que Je suis et aider du mieux possible toute personne qui en a besoin et peut-être vous-même en train de lire cet article.

Oui cela demande de s’adapter avec souplesse à ce qui nous arrive. Mais quelle joie quand, après avoir lâché prise…nous pouvons repartir avec facilité vers ce qui est notre vie. Ce n’est pas de la résignation mais de la lucidité.

 » Certes nous décidons des choses en êtres libres, mais une fois que cela est fait, le mieux est d’accepter la situation comme si elle nous était envoyée par le destin et ne dépendait plus de nous ». [1]

On accepte alors d’avoir un travail qui ne soit pas satisfaisant, si on ne peut le quitter. De ne pas avoir le mari (ou la femme) idéal(e), d’avoir des enfants qui ne font pas tout ce que l’on voudrait, d’avoir une maison qui ne reluise pas de propreté, d’avoir mangé un plat industriel ou choisi un restaurant finalement pas si sympa sur la qualité des produits…

On commence alors à apprécier les choses autrement, et c’est cela qui nous rend…Heureux et léger!!

[1] « l’art francais de réussir sans forcer » Ollivier Pourriol
[2] le vitaliseur de Marion https://www.vitaliseurdemarion.fr/officiel/
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Emotions

Symbolique de vos douleurs : des mots sur les maux (suite)

Que vous dit votre corps quand vous avez des douleurs ?

Votre corps vous parle avec son langage bien à lui et le comprendre n’est pas toujours chose facile.

Dans ce 2ème article sur la symbolique de la douleur, je vous propose d’explorer ce que votre corps a à vous dire.

LES MEMBRES SUPÉRIEURS

I- Symbolique Yin – Yang

Symbolique du Yin   :     

La droite est yin. Toutefois en médecine traditionnelle chinoise, des variations apparaissent en fonction du haut et du bas du corps.

Nous garderons donc simplement le principe YIN = DROIT

Au niveau physique : L’eau – La terre – Le concret – La matière – La substance – Le profond – Le froid. Ce qui amène à l’ossature – Le squelette – La moelle.

Au niveau émotionnel : Le féminin – L’affectif – Le sentiment – Le secret – La structure des choses ou de soi-même – Le mou : viscère et organe par exemple – Ce qui nourrit – La douceur.

Au niveau mental  : Le cerveau droit – La famille – La société – Le négatif – Les idées noires.

Au niveau spirituel : L’intuition – La réception – La lune – L’hiver – L’espace – Les idées.

Symbolique du Yang   :   

De même pour le yang, nous gardons le principe YANG = GAUCHE

Au niveau physique : Le feu, ce qui amène le sang – La surface, ce qui amène la peau.

Au niveau émotionnel : Le masculin – La force – L’action instinctive – L’apparence – L’enthousiasme .

Au niveau mental : La personnalité – Le cerveau gauche – L’action – La réflexion – L’analyse.

Au niveau spirituel  : Le soleil – l’été – Le positif – Le temps – L’impermanence.

II- Les douleurs au niveau des membres supérieurs :

Les bras et avant bras sont attachés au niveau des épaules et ont une mobilité très grande d’amplitude pour enserrer, saisir, prendre, câliner ou au contraire étouffer.

Ils sont vecteur d’action mais aussi de puissance pour combattre ou se défendre donc de choix dans l’action.

De passer de la conception (idée Yin) à la mise dans la matière par l’action (yang).

Les douleurs dans les membres supérieurs expriment des conflits entre ce que nous souhaitons vivre et ce que nous voudrions réaliser dans le monde extérieur. Ou encore un excès de volonté dans l’action pour garder le contrôle.

 Le cou :

A la sortie du cerveau tous les nerfs passent par le cou pour aller ensuite informer les membres supérieurs, inférieurs et les organes.

La nuque est une jonction entre la conceptualisation (cerveau) et l’action physique dans le réel.

Elle est aussi le siège de nos cordes vocales qui amène à la communication et de la thyroïde  qui marque le lien entre les racines profondes de l’individu qui nourrissent ses désirs et sa réalisation.

Les douleurs du cou:

Les douleurs du cou et de la nuque expriment la difficulté à transformer nos envies et les réaliser.

Ces difficultés étant le reflet de nos croyances  » je ne suis pas capable de … » – « Je n’y arriverai pas… »

Une douleur de la nuque qui irradie vers l’épaule, nous ramène à notre incapacité par rapport à l’autre et à l’extérieur.

Les tensions à ce niveau expriment nos problématiques en terme de communications – de notre impuissance à agir ou la contrainte d’accepter une situation par notre incapacité à dire NON.

L’épaule :

L’épaule est le pendant de la hanche pour les membres supérieurs. C’est la base et le point de départ du bras.

Elles représente nos intentions et des gestes à faire. Nos envies profondes d’agir. Et tout ce qui contrariera cette envie aura une répercussion sur les tensions au niveau des épaules.

Les douleurs de l’épaule :

Les douleurs vont donc exprimer nos mouvements empêchés ou gestes que nous ne pouvons réaliser.

Les bras étant comme des ailes pour les oiseaux et les épaules le point d’insertion, tout impossibilité ou difficulté d’action aura comme symbolique les ailes coupées…Donc ne pas pouvoir voler (agir).

En fonction du côté nous sommes dans un conflit d’être emprisonné, ou impuissance à agir ou de na pas être épaulé en ayant été trop souple ou complaisant par rapport à l’autre dans l’action.

 Le bras : 

C’est la partie entre l’articulation de l’épaule et le coude. L’humérus qui représente la condition noble et seule digne d’être vécue.

Le bras est la puissance et l’humanité dans son développement intérieur et spirituel.

Notre capacité à se sentir digne ou indigne dans le manifesté, avec sentiment de dévalorisation dans l’image sociale et en particulier dans le lien affectif entre parent – enfant (je suis mère indigne ou enfant non digne de sa mère).

Les douleurs du bras :

Ramène encore à la difficulté d’exprimer sa puissance dans l’action par sentiment d’indignité familiale et filiale.

Ce qui entraine le sentiment d’échec et de non réalisation de soi.

Par ce sentiment d’aile coupé, se rapprocher d’avoir été trop couvé et ne pas avoir appris à voler de ses propres ailes, donc à mettre ses rêves en actions.

D’avoir accepté les désirs « parentaux ou éducatifs » au détriment de ses envies profondes.

Le coude :

2ème articulation du bras est le pendant du genou pour le membre supérieur.

Va montrer la difficulté à déployer ses ailes ou au contraire de vouloir trop les garder ouverte sans souplesse intérieure, donc de ne pas lâcher prise sur ces volontés ou au contraire de manquer de volonté.

Le coude ou coudée (mesure ancienne de 50 cm) exprime le périmètre de sécurité souhaitable autour de nous.

  • Avoir les coudées franches : Avoir sa liberté de mouvement, être libre.

Les douleurs du coude :

Difficulté à avoir sa liberté de mouvement notamment dans le travail.

Faire un travail qui ne nous correspond pas et que nous avons du mal à accepté.

Vient nous parler des conflits avec les collatéraux sur le même niveau de pouvoir (fratrie – collègues – conjoint – amis)

 L’avant bras :

2ème partie du membre supérieur. Constitué de deux os le radius et le cubitus. Il s’articule entre le coude et le poignet avec une grande amplitude de rotation donc de notre capacité à poser des limites et à dire stop.

Les douleurs de l’avant-bras :

Difficulté à réaliser ses projets et ses désirs – A changer ses habitudes et à accepter la nouveauté.

Difficulté à ouvrir ses bras pour accueillir l’autre et s’ouvrir à l’autre et à l’amour – A s’affirmer.

De se donner les moyens de réaliser et mettre en action dans le concret nos projets.

Le poignet :

Grâce à son articulation avec le radius et le cubitus; eux-mêmes reliés au coude, le poignet bénéficie d’une grande amplitude de mouvement dans tous les plans de l’espace.

Il transmet l’information entre la conceptualisation et la réalisation au niveau de la main dans l’action.

Il représente par son mouvement souple, la souplesse de nos actions et de idéaux.

Les douleurs du poignet :

Difficulté dans l’exécution d’un travail, le manque de souplesse de nos idées dans nos actions.

Sensation de vigilance extrême pour se sentir en sécurité quand trop de rigidité. De notre excès de volonté et de pouvoir sur l’extérieur et de nous empêcher d’agir ou au contraire dans un excès d’action rigide.

  • Je dois y arriver par la force du poignet : par mes seuls forces en faisant des efforts.

Et à l’inverse d’abdication et d’abandon quand poignet trop mou et manquant de force ou trop de laxité articulaire.

La main :

Au bout de notre poignet se trouve la main. C’est l’outil majeure de nos actions fines et délicates.

Les mains exécutent aussi les basses besognes et corvées difficiles, les actions répétitives.

Les mains ouvertes sont signes d’alliance, de paix et de non-agression à l’autre.

Elle signe les pactes d’alliance et d’amitié par la poignée de main et invite nos intentions dans la manifestation. (

Outils de communication ; agitation de la main pour saluer, exprimer un sentiment de reconnaissance ou de paix. Langage des muets ou gestes des mains dans les dialogues qui appuis les propos et la volonté d’expression de ses propos.

Les douleurs de la main :

Elles vont exprimer notre difficulté dans l’exécution d’un travail en désaccord avec notre volonté. Travail obligé en opposition au travail désiré ou œuvre d’art rêvée.

Les tensions vont aussi parler de vouloir garder, saisir et posséder.

Avoir les mains toujours en mouvement l’une contre l’autre exprime les peurs larvées et l’incapacité d’agir et de réaliser en accord avec la volonté et le monde extérieur.

Les doigts:

Ils sont l’expression de nos actions fines.

  • Avoir du doigté : de la finesse dans l’action.

Ils représente notre savoir faire, notre habileté d’action.

Pour un droitier, la main droite va être en rapport avec une action dans l’affectif. La main gauche va représenté un danger dans l’action. (et inversement pour les gauchers).

Quand j’étais enfant mon père nommait les doigts en fonction de ministre :

  • Ministre des transports : le pouce.
  • Ministre de la justice : l’index
  • Ministre de l’intérieur : le majeur
  • Ministre des affaires étrangères : l’annulaire (alliance)
  • Ministre des travaux publics : l’auriculaire (oreille)

La MTC, nous montre que ces fonctions populaires transmises de génération en génération ont leur raison d’être.

Le pouce  :

En médecine traditionnelle chinoise il est relié au méridien du poumon et représente la protection, la défense mais aussi la tristesse.

C’est le doigt que l’on met en bouche. Un bébé qui suce son pouce exprime son besoin de protection du monde extérieure mais aussi son besoin de réconfort.

Il est le doigt en rapport avec le travail « alimentaire » donc pas nécessairement désiré ou forcé.

L’index  :

Dans la médecine traditionnelle chinoise, il est relié au gros intestin.

C’est le doigt de la justice et de la justesse par rapport au monde extérieur.

C’est aussi le doigt qui ordonne et qui évacue (les crottes de nez) les déchets.

Il représente l’ordre, l’autorité, le jugement, l’accusation. Egalement la direction à prendre.

Une douleur va donc indiquer d’évacuer ce qui dérange en soi, dans le jugement, l’autorité et la justice. D’éliminer toute menace et de prendre sa propre direction sans excès d’autorité.

Le majeur  :

Il permet le toucher fin, la profondeur. C’est le doigt qui va aussi explorer le toucher sexuel (anal) et l’ouverture à l’amour.

En médecine traditionnelle chinoise, il est relié au maitre cœur.

Mon père l’appelait le ministre de l’intérieur et effectivement représente la satisfaction ou l’insatisfaction en cas de douleurs.

  • Toucher du doigt : c’est approcher de la solution (le majeur étant le plus long est celui qui touche en 1er)

L’annulaire : 

En médecine traditionnelle chinoise il est relié au triple réchauffeur.

C’est le doigt de l’alliance, de l’union, du couple, de l’amour.

  • Se mettre le doigt dans l’œil : c’est la désillusion.

Il est aussi relié à la vue, à l’esthétisme et aux différents point de vue.

Il nous parle de cohérence, de cohésion.

L’auriculaire :

En médecine traditionnelle chinoise il est relié au méridien du cœur et de l’intestin grêle.

Il est aussi en rapport avec l’ouïe, l’oreille, l’audition, l’entendement.

  • Mon petit doigt m’a dit : révélation du secret.

Il fait aussi référence à la superficialité et aux apparences (petit doigt levé en buvant du thé) dans une notion de jeu de rôle.

Sources :
  • Dis-moi où tu as mal, je te dirais pourquoi : Michel Odoul.
  • Le langage émotionnel du corps : Roger Fiammetti
  • Le biodico : Bernard Thion
  • Les 5 Blessures de l’âme : Louise Bourbeau

Pour en savoir plus :

https://www.corinne-allemoz.fr/symbolique-organes-mots-maux/

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Symbolique de vos douleurs : des mots sur les maux.

Que vous dit votre corps quand vous avez des douleurs ?

Votre corps vous parle avec son langage bien à lui et le comprendre n’est pas toujours chose facile.

Dans ce 1er article sur la symbolique de la douleur, je vous propose d’explorer ce que votre corps a à vous dire.

LES MEMBRES INFÉRIEURS

I- Symbolique Yin – Yang

Symbolique du Yin   :     

La droite est yin. Toutefois en médecine traditionnelle chinoise, des variations apparaissent en fonction du haut et du bas du corps.

Nous garderons donc simplement le principe YIN = DROIT

Au niveau physique : L’eau – La terre – Le concret – La matière – La substance – Le profond – Le froid. Ce qui amène à l’ossature – Le squelette – La moelle.

Au niveau émotionnel : Le féminin – L’affectif – Le sentiment – Le secret – La structure des choses ou de soi-même – Le mou : viscère et organe par exemple – Ce qui nourrit – La douceur.

Au niveau mental  : Le cerveau droit – La famille – La société – Le négatif – Les idées noires.

Au niveau spirituel : L’intuition – La réception – La lune – L’hiver – L’espace – Les idées.

Symbolique du Yang   :   

De même pour le yang, nous gardons le principe YANG = GAUCHE

Au niveau physique : Le feu, ce qui amène le sang – La surface, ce qui amène la peau.

Au niveau émotionnel : Le masculin – La force – L’action instinctive – L’apparence – L’enthousiasme .

Au niveau mental : La personnalité – Le cerveau gauche – L’action – La réflexion – L’analyse.

Au niveau spirituel  : Le soleil – l’été – Le positif – Le temps – L’impermanence.

II- Les douleurs au niveau des membres inférieurs :

Les jambes ont pour rôle de nous permettre d’avancer ou de reculer. De se mettre en mouvement pour agir.

Les douleurs dans les jambes vont orientées vers le relationnel – l’autre et son ressenti et sa façon d’aborder sa relation à l’autre ou au monde.

La Hanche: 

La hanche est la base du membre inférieur et représente « la mère ».

Une douleur à la hanche sera à mettre en parallèle avec nos croyances inconscientes envers notre perception de notre relation à l’autre et au monde et comment cette perception viendra s’exprimer à ce niveau de façon somatique.

Douleur de la hanche: 

Les douleurs qu’elles soient tendineuses, articulaire ou arthrosique viennent remettre en cause nos croyances inconscientes.

La hanche va exprimer la dévalorisation dans l’opposition par incapacité à avancer ou reculer dans le conflit qui ne trouve pas de solution.

La hanche vient exprimer dans cette incapacité à agir, le sentiment de trahison ou d’abandon de soit ou de l’autre. A affiner en fonction du côté.

Ces deux blessures ayant trait au parent opposé (mère si on est un homme et père si nous sommes une femme).

 La cuisse, le fémur :

La cuisse se situe entre la hanche et le genou.

Douleur de la cuisse du fémur :

Les douleurs du fémur et de la cuisses, qu’elles soient musculaires ou fracture vont mettre en surface, ce qui n’est pas accepté dans l’inconscient.

Des choix de vie qui peuvent être acceptés dans le conscient (un déménagement par exemple) mais qui inconsciemment est perçu comme une défaite ou une perte de pouvoir, peut entrainer une chute avec fracture au niveau fémoral.

Vouloir rester dans sa position, tout en étant obligé de céder à l’autre et de ne pouvoir résister à la force de l’autre.

Ce qui au plus profond de soi n’est pas accepté.

Le genou: 

2ème articulation du membre inférieur.

Le genou permet de fléchir ou de se mettre à genou.

Il exprime le faite de ployer, et invite à l’humilité.

Devant quoi ne veut-on pas plier face à l’autre?

Il exprime le Je-Nous, conflit entre « je » et les autres.

Il représente notre force intérieure d’acceptation.

Il vient nous parler de l’obéissance, de la soumission dans son expression négative, ou de devoir obéir à l’autre par obligation.

Il invite au lâcher prise, de l’individuel au service du collectif.

Douleur du genou:

Quand la douleur au genou apparait, il est toujours interressant de comprendre comment une situation nous montre notre difficulté à l’acceptation de ce qui est. Conflit intérieur face à une situation extérieure.

Que cette situation soit envers l’autre dans le relationnel ou face à un ordre supérieur (loi – règle – spirituel).

Chercher aussi une mémoire d’un sacrifice familial (connu ou inconscient) lié aux émotions.

Le mollet, le tibia et le péroné :

2ème axe du membre inférieur dans sa partie basse.

Il est entre le genou et la cheville.

La cheville nous invitant à la prise de décision. Une entorse étant symbolique de vouloir aller dans deux directions opposées (décision consciente et non acceptation inconsciente en rapport avec les croyances).

Quand une situation vécue dans le réel est acceptée (genou), il y a l’intégration (tibia) pour la mettre en action (cheville).

Ce cheminement peut s’avérer compliqué et entrainer les tensions dans les mollets ou fracture du tibia.

Douleur du mollet , du tibia ou du péroné :

Dans la vie il y a beaucoup de changements. ceux qui seront compliqués pourront entrainer des douleurs ou des tension au niveau de la jambe.

Changer d’habitat, de point de vu, d’opinion, de conception du monde et de perception à mettre dans le concret.

Le pied : 

Le pied est ce qui nous tient debout. Il supporte tout notre corps et permet le déplacement. C’est par les pieds que notre triangle de proprioception nous permet de tenir debout en corrigeant notre statique en permanence.

Il est le manifeste de nos positions par rapport au monde extérieur. Notre volonté, notre idéal et désir de reconnaissance.

Il est aussi symbole de notre liberté et notre capacité à vivre selon cette liberté intérieure qui nous caractérise.

Il nous met également en contact avec la terre nourricière (mère) et vibrera en fonction de nos conflits avec la mère (réelle ou symbolique).

Douleur de pied : 

Beaucoup d’expressions populaires, nous donnent l’expression de nos tensions au niveau des pieds.

  • Être bête comme ses pieds : être bête.
  • Faire quelque chose comme un pied : Imbécilité.
  • Casser les pieds : ennuyer quelqu’un.
  • Ne pas savoir sur quel pied danser : indécision – contenance – direction à prendre.
  • Être dans ses petits souliers : Manque d’affirmation – peur de…

Ces expressions parlent de positionnement entre Soi et le monde. De nos peurs par manque de stabilité ou de sécurité.

Les orteils : 

Les orteils sont au bout de nos pieds. Ils sont au bout, donc finissent et expriment l’autonomie dans nos relations et du détachement à ce qui nous nourrit.

Ils invitent à prendre notre responsabilité, notre dimension adulte.

Chaque orteil ayant une sous dimension.

Douleur des orteils :

  • Douleur du gros orteil 

C’est l’orteil qui permet la propulsion du pas.

Il représente la volonté – l’égo – ce que nous sommes dans notre caractéristique.

Les douleurs expriment notre incapacité à faire preuve de notre volonté ou d’être obliger d’obéir à la mère ou autorité maternelle.

A la perte de notre capacité ou valeur féminisme (ménopause)

  • Douleur du deuxième orteil  :

Il gère notre rapport à la digestion et vient nous parler de notre difficulté à gérer les problèmes.

Des douleurs à ce niveau nous invitent à nous décharger de tout ce que nous stockons d’indigeste dans les situations.

  • Douleur du troisième orteil  :

Il nous parle d’équilibre émotionnel et de nos difficultés relationnelles – sentiment de ne pas être aimé – de sexualité en incohérence et de jalousie.

  • Douleur du quatrième orteil  :

Il vient toucher ce qui est injuste dans nos relations – Nos rancœurs – L’excès de perfectionnisme.

  • Douleur du petit orteil :

En lien avec la vessie, il va nous parler de territoire – d’habitudes – de schémas répétitifs.

III- Conclusion

Les membres inférieurs sont donc le reflet de notre relationnel à l’autre et au monde.

Ils nous parlent de nos peurs, de notre capacité ou incapacité à agir entre nos désirs intérieurs et la mise en action à l’extérieur.

De passer du Yin au Yang.. Des idées à la concrétisation. De notre positionnement entre notre volonté (égo) et notre être (âme)

Sources :
  • Dis-moi où tu as mal, je te dirais pourquoi : Michel Odoul.
  • Le langage émotionnel du corps : Roger Fiammetti
  • Le biodico : Bernard Thion
  • Les 5 Blessures de l’âme : Louise Bourbeau

Pour en savoir plus :

https://www.corinne-allemoz.fr/symbolique-de-vos-douleurs-mots-maux-suite/