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Alimentation

L’alimentation qui rend zen

Les 6 règles majeures pour une alimentation Santé et zen.

Explorons les ensemble.

 

I- Alimentation équilibrée

 

Une alimentation équilibrée va apporter à chaque repas :

Les Acides Aminés, les acides gras, sucres (glucose), minéraux, oligo-éléments, vitamines ce qui permet à l’organisme de mieux assimilé, surtout si tout parvient A LA FOIS.

 

COMPOSITION STANDARD DES REPAS

 CRUDITÉ : variée ou salade verte 30%

Apporte :

  • fibres,
  • mucilage,
  • vitamines,
  • minéraux,
  • flavonoïdes,
  • oligo-éléments,
  • Favorise le transit.

 

ALIMENT PROTÉIQUE 20%: viandes, poisson, œufs, laitage, fromage.

Les protéines servent :

  • Renforcement du système immunitaire
  • Enzymes
  • Constitution de notre charpente osseuse.
  • Acides aminés = bâtisseur de notre organisme, remplacement des cellules mortes.
  • Pour sa consommation vitale, le foie à besoin d’acides aminés

 

 ALIMENT FARINEUX :25% Pomme de terre, pâtes, riz, quinoa, kamut, lentilles, soja, pain.

– Glucose indispensable c’est le carburant de l’organisme.

Par contre consommé en excès, les sucres inhibent la sécrétion de certains neuro transmetteurs :

  •  La sérotonine (hormone du bien-être)
  • La noradrénaline (hormone régulatrice des émotions)
  • GABA (calme le stress neuronal)

 

 LEGUMES CUITS :25% sont très utiles

– Volhémie du bol alimentaire.

– Fibres. Aliments favoris de notre flore intestinale.

 

 

DES CORPS GRAS : Les huiles et graisses sont indispensable pour une bonne souplesse des cellules, mais également de la peau, du cerveau.

Les gaines des neurones sont entourées de corps gras permettant la bonne circulation de l’information.

Les lipides sont aussi un réservoir d’énergie pour le corps.

 

 

 

II- Alimentation digeste

Si l’alimentation est trop riche, cela va créer une surcharge de travail pour l’organisme et une fatigue.

 

Certains mélanges alimentaires que l’on croit sains, vont être parfaitement indigeste et créer cette fatigue de l’organisme.

 

 

Il est important pour l’organisme de bien digérer et d’avoir le temps de s’auto nettoyer.

 

 

III- Alimentation mesurée

– Lorsque l’on mange une partie de notre énergie vitale se reporte sur la digestion.

 

Si nous mangeons plus que de raison :

  • Stockage en graisses
  • Plaques d’athérome
  • Douleurs articulaires
  • Obésité
  • Maladies cardio-vasculaire
  • Diminution de la longévité de vie.
  • Troubles digestifs.

 

 

Le grignotage créer une indigestion chronique, de plus l’organisme n’aura jamais l’occasion de s’auto-nettoyer.

 


IV- Alimentation variée

Dans une même catégorie d’aliments (exemple : les légumes), on trouve pour chacun d’eux des vitamines, minéraux, oligo-éléments différents.

Si nous mangeons toujours les mêmes choses aux dépens d’autres, cela entraine des carences qui peuvent avoir un impact certain sur la santé.

 

Exemples :

  • Anémie est le reflet d’une carence en vitamine B, en fer et vitamine C qui fixe le fer.
  • Les maladies infections peuvent être dues à des carences en zinc qui renforce le système immunitaire.
  • Les crampes carence de magnésium, d’eau, vitamine D, de calcium.

 

Il ne faut pas oublier que les carences augmentent avec le stress qui entraîne de grande consommation de minéraux (calcium, magnésium, phosphore…) afin de rétablir les équilibres acido-basiques dans le corps.

 

V- Alimentation individuelle

En fonction de l’âge les besoins ne sont pas les mêmes.

Les enfants ont des besoins supérieurs aux adultes du fait de leur croissance.

Une personne sédentaire, n’a pas les mêmes besoins qu’une personne qui fait un travail de force.

L’alimentation individuelle correspond donc à la quantité en fonction de l’âge, de l’activité physique et de l’hygiène de vie globale.

 

VI- Alimentation naturelle

Il a été prouvé que les produits issus de la culture industrielle ont perdus en moyenne 60% de leurs vitamines, minéraux et oligo-éléments.

 

 

Les aliments raffinées (bio ou pas), sont complètement dépourvus des nutriments essentiels à la vie.

 

Conclusion :

En respectant ces 6 impératifs, le corps :

  • Travail sans surcharge.
  • Il reçoit tout ce qui est nécessaire à sa vie.
  • Il est serein et léger.
  • Vous êtes en pleine santé.

Bon appétit

 

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Corps émotionnel Corps physique

Comment nos émotions polluent notre corps ?

Le lien entre nos émotions et notre corps :

 

lien-corps-émotions

« Votre Qualité de vie n’est pas tant déterminée par ce que la vie vous apporte, que par l’attitude que vous adoptez dans votre vie. Pas tant par ce qui vous arrive que par ce que votre esprit perçoit de ce qu’il s’est passé. »    

Khalil Gibran

 

 

Chaque émotion déclenche une réaction au niveau du système nerveux.

Le système sympathique qui va préparer le corps à l’action.

Le système parasympathique qui va maintenir l’équilibre pour que l’émotion ne déborde pas au delà de ce que le corps peut supporter.

 

 

 

Définition d’une émotion :corinne-allemoz-photo-smile

Une émotion est une réaction physiologique à une situation.

Elle est normalement de durée très brève et transitoire (les enfants savent très vite passer du rire aux larmes).

 

A chaque fois qu’une situation provoque une émotion, le cerveau reçoit une information. Il sécrète alors une substance chimique qui va permettre la mise en place d’un message électrique et la mise en action.


neuro-transmetteursLes neuro-transmetteurs :

 

Ce sont des substances chimiques, différentes en fonction de l’émotion. On en compte environ une soixantaine.

 

 

Ils sont classés en 2 classes :

Les excitateurs : ils facilitent la propagation des messages nerveux.

Les inhibiteurs : ils diminuent la propagation des messages nerveux.

 

Les excitateurs :

les-excitateurs-naturopathie

Acétylcholine :

  • Déclenche les contractions musculaires et stimule l’excrétion de certaines hormones.
  • Dans le système nerveux central, il entre dans :
  • L’implication de l’éveil chez l’enfant.
  • L’attention et la concentration
  • La colère et l’agression
  • La soif
  • La sexualité.

 

Adrénaline :

  • Produite par les surrénales.
  • Entraîne une augmentation du rythme cardiaque,
  • de la pression artérielle en cas de peur, de stress, de colère.

 

Dopamine :

  • produite par l’hypothalamus
  • Elle intervient dans les actions qui stimule, la joie, le plaisir, l’enthousiasme.

 

Noradrénaline :

Elle agit sur différent plans.

  • Comme excitateur : pour augmenter l’attention, le sommeil, le rêve, l’apprentissage.

 

Elle peut aussi être libérer dans le sang comme une hormone aux effets multiples :

  • Contraction des vaisseaux sanguins, augmentation de la fréquence cardiaque.

 

Neuro-transmetteur inhibiteur

Neuro-transmetteur inhibiteur

Enképhaline :

Il empêche la mise en action.

  • Analogue à la morphine.
  • Calmant.
  • Anti-douleur en cas de blessure.

 

Sécrété quand on est :

  • triste, déprimé,
  • en baisse d’énergie
  • ou fatigué.

 

Conclusion :

Vous l’aurez compris, si une émotion est un processus normal, les émotions peuvent devenir polluantes si nous ne donnons pas l’information à notre corps d’une réalité correcte.

Cette désinformation, liée à nos ressentis face aux événements, à nos blessures d’enfance ou autre traumatisme peut devenir chronique.

Et quand cela devient chronique, c’est là que nous polluons notre corps et que la maladie s’installe.

 

Comment en sortir ?

  • Comprendre, reconnaître ses émotions.
  • Donner aux choses l’importance qu’elles ont.
  • Vivre l’instant présent.
  • Opter pour une hygiène de vie globale alimentaire, physique, sommeil et de pensée de meilleure qualité.

 

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Alimentation

Pourquoi protéger votre foie ?

Foie

La santé de l’intérieur se voit à l’extérieur.
                                                        proverbe tibétain 

 

Le foie est l’organe le plus gros de notre corps. Il a beaucoup de fonctions et de rôles tous très important pour notre corps. Aujourd’hui, je lui laisse la parole pour vous expliquer lui-même son importance pour votre organisme.

 

Mon lieu de résidence : foie-naturopathie

Je suis protégé dans la partie haute du ventre, en dessous du diaphragme.

Quand je vais bien, que je ne suis pas trop gros. Mon poids est exactement le même que celui de mon ami le cerveau, 1400 à 1500 grammes, soit 2 % du poids du corps pour chacun. C’est dire mon importance !

Quand je dépasse largement le poids de votre cerveau, c’est que je ne vais pas bien.

J’ai la capacité de régénérer à partir de 10% de mon poids total.

Ma Composition :

Je suis constitué de cellules, de canaux et de vaisseaux.

  • 80% des cellules qui me constituent sont les hépatocytes. Elles sont organisées en travées autour de petits vaisseaux très perméables nommés « capillaires entrecroisés »;
  •  Les canaux biliaires qui récupèrent la bile,
  • Les vaisseaux sanguins propre au foie,
  • Le système immunitaire, qui représentent  jusqu’à 30 % des cellules du foie quand les hépatocytes souffrent. Ces cellules immunes jouent un rôle essentiel de protection des hépatocytes,
  • Des cellules dites « stellaires » qui stockent et participent aux fonctions de la vitamine A.
  • Des cellules souches dites « ovales », capables de devenir d’autres cellules. Ces cellules sont capables de régénérer le foie à partir d’une toute petite partie de lui-même.

 

 

Je sers à quoi ? plaque métabolique

je suis votre principale « plaque métabolique ».

Je reçois, je transforme ce que je reçois, donc je fabrique du neuf et je le diffuse vers tous les autres organes de votre corps qui en ont besoin pour fonctionner normalement.

Je suis sensible aux excès d’alcool, aux drogues de toutes sortes qui me traversent.

Je suis aussi sensible à tous les médicaments : les statines, les antibiotiques, les hormones, les calmants,les antidépresseurs, les anxiolytiques et somnifères.

 

 

veine porteCe que je reçois et assimile

Tous les nutriments de la digestion.

Ils entrent par ma porte d’entrée : la veine porte

 

 

 

Les plus grosses molécules ne passent pas par la veine porte. Elles prendront le chemin de la circulation lymphatique.

( cf :comment s’éliminent les déchets de notre corps).

 

 

Ce que je fabrique et diffuse

 

fabrique-bile
1- D’abord je fabrique la bile, jusqu’à 1 litre par jour.

Ce sont mes hépatocytes qui la produisent, la déversant dans les canalicules biliaires.

(cf : replay cure du foie)

 

2- je fabrique des protéines

Je les fabrique, à partir des acides aminés, des acides gras, des minéraux et oligo-éléments.

  •  L’albumine est la protéine la plus importante des protéines plasmatiques. Son rôle est de permettre à une certaine quantité de liquide de rester dans le secteur vasculaire pour maintenir une pression artérielle suffisante.

Quand l’albumine manque, l’eau sort des vaisseaux et participe à la formation des œdèmes des membres inférieurs.

Elle transporte les hormones thyroïdiennes, des acides gras libres, des hormones liposolubles, de la bilirubine, des minéraux essentiels comme le calcium, également les médicaments et les drogues.

  •  Les protéines de coagulation : je suis le seul dans votre corps à avoir cette activité.

La transferrine transporte le fer dans le sang et la ferritine la stocke dans le foie, réglant ainsi l’absorption digestive du fer.

  •  Les protéines de l’inflammation, (C-Reactive Protein), qui augmente dans des situations d’infection ou d’inflammation.
  • La transcobalamine, protéine qui assure le transport de la vitamine B12.

(cf :  protéines quelle  importance pour votre corps).

 

3- Je fabrique et aide au transport de nombreuses hormones

Ceci, grâce à vos glandes surrénales, vos ovaires, vos testicules, votre thyroïde…

 

4- Je fabrique aussi du cholestérol,

70 % du total en plus de celui que vous m’envoyez par vos aliments (30 %)

  • Le cholestérol est indispensable pour que vos glandes surrénales fabriquent les hormones du stress (corticoïdes), les testicules la testostérone et les ovaires  œstrogènes et progestérone.
  • Je peux aussi dégrader le cholestérol si vous m’en envoyez trop en le transformant en acides biliaires et en l’éliminant dans la bile.

 

5-Je fabrique de nombreux facteurs de croissance

  • qui participent à la croissance tissulaire,
  • au renouvellement des cellules
  • à la transformation des cellules souches en cellules différenciées telles qu’hépatocytes ou cellules du système immunitaire selon les besoins.

 

stock-sucre Ce que je stocke

 

1- Mon énergie, c’est le sucre,

  • Évidemment, le sucre m’est envoyé par la veine porte venant des aliments.
  • je peux stocker 48 heures de réserves de sucres que je transforme et stocke sous forme de glycogène.

 

2-Je suis capable de stocker de la vitamine A, de la vitamine E ou même un peu de vitamine D.

Mais attention, ne me gavez pas de vitamine A ou de vitamine E ou D. Mes capacités de stockage ne sont pas illimitées. De plus cela me ferait plus de mal que de bien.

 

La prochaine fois, je vous dirai comment je vous alerte si je suis malade ou en surcharge et également toutes les maladies que vous pourriez m’éviter.

Texte issu des lettres du Professeur Joyeux

 

 

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Alimentation Corps physique

Comment s’éliminent les déchets de notre corps ?

Élimination des déchets de notre corps :

 

dechets-corps

        Nos intestins absorbent tout ce que nous mangeons.  Le bon comme le pire.
           A chacun sa responsabilité sur ce qu’il met dans son palais des saveurs
                                                                                                                                                                     Christian Brun

 

Nous produisons tous les jours des déchets, qui sont traités par le foie et envoyés vers nos différents émonctoires.

 

Qu’est ce qu’un émonctoire ?

Ce sont des organes spécialisés pour éliminer les déchets qui encrassent l’organisme [1]:

  • LE FOIE va éliminer par la bile, les toxiques exogènes (alimentation, médicaments, drogues…)
  • L’INTESTIN par les matières fécales,
  • LA PEAU par la sueur (sodium et acide urique), le sébum, les cellules kératinisées,
  • LES REINS par les urines, l’acide urique, l’urée, l’ammoniaque.
  • LES POUMONS qui éliminent le gaz carbonique et l’eau mais aussi des acides gras volatiles et les alcools de fermentation en provenance de l’intestin.

Remarque : la rate n’est pas un émonctoire, elle transforme les globules blancs et rouges morts.

Comment s’éliminent les déchets dans les émonctoires ? [2]

Les petits déchets :

S’ils sont inférieurs à 20µ, après passage par la voie veineuse et redirection par le foie, ils seront éliminés sous forme d’acidité ou de cristaux par nos urines ou notre transpiration, ou par les mucosités (crachats ou selles).

Les moyens déchets :

Diamètre situé entre 20µ et 100µ. Ils passent en raison de leur taille par la voie lymphatique. Les ganglions lymphatiques vont les réduire à une taille inférieure à 20µ pour suivre le circuit précédent des petits déchets.

Les gros déchets :

Supérieurs à 100µ, bloquent dans le système lymphatique et demandent beaucoup d’effort à l’organisme pour s’en débarrasser.

Pourquoi est-il important d’éliminer les déchets ?

Les moyens et gros déchets, en grande quantité, vont inflammer le système lymphatique qui est aussi le gardien de notre immunité.

Ils sollicitent également l’organe le plus important du traitement des déchets : le foie.

Les déchets qui n’arrivent pas à être traités suffisamment vite par le foie, en raison de leur trop grande quantité, s’accumulent, bloquent les voies biliaires et épaississent la bile, ce qui entraine une mauvaise digestion des graisses et une mauvaise stérilisation des intestins.

La conséquence est l’épuisement du foie et l’encrassement cellulaire, par non évacuation de leurs propres déchets.

Comment éviter l’accumulation des déchets : [1]

  • Par une ALIMENTATION équilibrée, naturelle, digeste, individualisée, mesurée, assurant une parfaite NUTRITION DES CELLULES
  • Par un EXERCICE PHYSIQUE dans la nature qui parfaitement modulé assure L’IRRIGATION et L’OXYGENATION CORRECTE DE NOS CELLULES
  • Par un  SOMMEIL en qualité et quantité suffisante assure L’INNERVATION PARFAITE DE NOS CELLULES
  • Grâce à une bonne SERENITE MENTALE ne perturbant pas les INFORMATIONS DE NOS CELLULES

 

Comment aider l’organisme à éliminer les déchets ?

En plus des 4 paramètres précédents, il est important de mettre au repos son organisme régulièrement.

Ce repos associé à des cures, mini jeûnes, et diverses diètes permet un réel nettoyage.

 

[1] : chouchouter ses intestins de Christian Brun.
[2] : Diététique de l’expérience de Robert Masson.
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Alimentation Corps physique

MASTICATION : elle a son importance

Quelle est l’importance de la mastication ?

Mastication naturopathie

La mastication permet que ce qui est absorbé solide soit avalé liquide et tout ce qui est absorbé liquide soit avalé solide.

                                                                                                                            Proverbe chinois.

Découvrez les vertus de la mastication

1- Réduire les aliments

La mastication permet la réduction des aliments en petits morceaux plus facile à digérer, voir en les transformant en une bouillie quasi liquide.

 

2- Saliver

Le fait de mâcher permet d’enrober les aliments de salive.

La salive contient des enzymes digestives, notamment l’amylase qui va commencer le processus de digestion des amidons.

 

3- Anti-bactérien

La salive contient également un anti-bactérien, le lysozyme qui stérilise les aliments et évite au maximum les infections.

 

4- Des enzymes

C’est grâce à l’action de mâcher que notre  système nerveux autonome donne l’ordre de fabriquer les enzymes de la digestion.

 

5- Satiété :

La mastication permet à nos papilles gustatives de ressentir la satiété et d’en informer notre cerveau, afin de nous faire arrêter de manger.

 

6- Plaisir

La mastication développe la notion de plaisir de manger et de savourer de bons petits plats.

Maintenant que je vous ai détaillé les vertus de la mastication, je vous encourage à appliquer mes conseils.

Un bel appétit,

Corinne Allemoz

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Corps émotionnel Corps psychique

LA POSITIVITE : En quoi améliore-t-elle notre santé ?

La positivité joue un rôle sur notre santé

La gratitude donne du sens à notre passé, de la paix à notre présent et une vision à notre avenir.

Mélody Beattie

Quand on cultive l’état d’esprit contraire à la positivité soit la négativité ou la politique du verre à moitié vide, notre état d’esprit ne se sent pas en joie.

Ceci va souvent de pair avec :

  • Un déséquilibre alimentaire en compensant sur le chocolat par exemple,
  • Un sommeil agité de cogitations diverses,
  • Un manque d’entrain et de stress permanent.

Cet état d’esprit joue un rôle et impact aussi notre métabolisme.

Expérience scientifique sur la positivité 

Des chercheurs en psychologie de l’UC Davis (Université de Californie Davis), Robert Emmons et Michael McCullough ont fait de multiples expériences ayant pour objet la gratitude !

Ils ont fait appel à plusieurs centaines de personnes qu’ils ont divisées en trois groupes :

  • Le premier tenait le journal de ses expériences quotidiennes.
  • Le deuxième, seulement des expériences désagréables.
  • Le troisième, chacun devait dresser la liste des événements dont il pouvait être reconnaissant.

Dix semaines plus tard, ce dernier groupe présentait l’état général le plus positif, enthousiaste au quotidien et optimiste sur l’avenir.

Mieux encore : ces personnes signalaient moins de soucis de santé et prenaient davantage soin d’elles-mêmes, notamment par la pratique d’activités sportives.

Les chercheurs ont aussi constaté une baisse du niveau de stress, une meilleure qualité du sommeil, une plus grande détermination, une performance accrue et une chute du risque de dépression.[1]

L’action du positif sur notre corps 

La positivité et la gratitude activent certaines zones spécifiques du cerveau au niveau du tronc cérébral et du cortex, et stimulent la production de dopamine et de sérotonine. Ces 2 neurotransmetteurs ont des actions bénéfiques sur notre corps et ses différentes physiologies.

Rôle de la dopamine

La dopamine est surnommée l’hormone du plaisir.

C’est elle qui intervient dans les mécanismes de récompense et de renforcement. En effet, lorsque nous faisons quelque chose qui nous procure du plaisir, nous aurons tendance à vouloir reproduire ce comportement encore et encore pour ressentir encore plus de plaisir…

La Dopamine est un neurotransmetteur relâché par le cerveau qui joue un certain nombre de rôles chez l’homme.

Certains de ses fonctionnements notables sont :

  • Le mouvement,
  • La mémoire,
  • La récompense agréable,
  • Le comportement et cognition,
  • L’attention,
  • Le sommeil,
  • La régulation de l’humeur,
  • L’apprentissage

Vous l’aurez compris manquer de dopamine a une répercussion physique en déréglant la fonction du mouvement ce qui peut causer : tremblements, spasmophilie, maladie de Parkinson.

Egalement un impact direct sur la régulation de l’humeur et du sommeil ce qui entraîne l’augmentation de mal être et de dépression.

Quand on sait que la dopamine est un tonifiant qui augmente le rythme cardiaque, on comprend que cette habitude de la gratitude et de la positivité procurent plus d’énergie et de motivation, ce qui rend l’apprentissage de la reconnaissance encore plus facile.

De façon concrète, plus j’éprouve un sentiment de reconnaissance (même si je n’en ai pas envie au départ), plus je sécrète de la dopamine.

Plus la dopamine est sécrétée, plus le cerveau est « récompensé ». Plus le cerveau est récompensé, plus il va avoir tendance à renforcer le comportement à l’origine de cette récompense.[1]

Rôle de la sérotonine dans la positivité

La sérotonine est un neurotransmetteur. Celle-ci est une substance qui permet de transmettre l’influx nerveux entre les neurones.[3]

La sérotonine a un rôle proche de celui des hormones.

Elle agit sur le système nerveux central et induit différentes actions. La régulation de certains comportements comme l’humeur ou l’émotivité en font parti.

La sérotonine a également des actions sur :

  • Le sommeil,
  • Les troubles sexuels,
  • Les anomalies du comportement alimentaire comme la boulimie,
  • L’agressivité.
  • Les tendances suicidaires peuvent aussi être expliquées par une faible production de sérotonine.
  • La dépression.

Plus le taux de sérotonine est élevé, mieux nous dormons, plus nous mangeons de manière adaptée et plus grande est notre énergie pour fonctionner dans une journée.

On s’est rendu compte qu’un taux élevé de sérotonine favorisait la production spontanée de pensées positives apportant à l’individu douceur et joie de vivre… Un taux faible, dans le cas contraire, de ce même neurotransmetteur favorise l’apparition de pensées suicidaires, d’agressivité et de dépression.[1]

3 conseils pour passer en positif :

1- Remercier

La gratitude est une attitude intérieure qui résulte d’un choix conscient, c’est un acte qui est à la portée de tout un chacun… Cultiver la gratitude, se nourrir de gratitude, c’est faire le choix délibéré de s’entraîner à être reconnaissant envers la vie. Éprouver de la reconnaissance, c’est aussi faire le choix d’apprendre à repérer un maximum de moments de bonheur dans une seule journée, l’entraînement se faisant un jour à la fois.

Plus nous cultivons la gratitude, plus nous retirons des bénéfices physiologiques et psychologiques qui, à leur tour, nous pousserons à reproduire davantage cette attitude de reconnaissance à l’égard de la vie et cette capacité d’émerveillement des moindres choses de l’existence.[1]

2- Noter 3 choses positives par jour

Choisissez un carnet qui vous fait plaisir.

Tous les soirs, prenez un temps pour vous remémorer votre journée, et noter 3 choses d’agréable qui se sont déroulées.

Cela peut être le sourire d’un enfant ou d’être aimé, le chant d’un oiseau, un rayon de soleil, la rosée sur les pétales d’une fleur, la caresse de votre chat sur votre jambe, une musique agréable, une histoire drôle….

3- Arrêtez de râler

Il est difficile d’arrêter de râler et pourtant quel bien-être quand on y parvient enfin. C’est un défi qui est une véritable expérience à relever!!

Si vous voulez vous lancer dans cette aventure, je vous invite à lire le livre de Christine Lewicki : J’arrête de râler.

Pour l’avoir expérimenté il y a quelques années, je vous promets un vrai changement avec sa technique du bracelet.

[1] Jean Jacques Crèvecœur de l’académie de la vie en mouvement.
[2 ] M. Ananya Mandal, DM : http://www.news-medical.net/health/Dopamine-Functions-(French).aspx
[3] http://sante-medecine.journaldesfemmes.com/faq/14185-serotonine-definition-role-et-dosage
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Alimentation

CHOLESTEROL : bon ou mauvais pour la santé ?

Quel rôle joue le cholestérol sur la santé ?

A quoi sert le cholestérol ? En Existe-t’il un bon ?… La réponse ci-dessous

action cholestérol sur la santé

Il faut chercher à mieux manger, mais il faut le faire avec l’intelligence du mental et celle du cœur.

Christian Brun

A quoi sert le cholestérol ? [1]

Celui-ci agit comme un anti-oxydant.

Il sert :

  • D’armature aux membranes cellules,
  • Garanti la fluidité et l’étanchéité des cellules,
  • Permet de développer des synapses (fils électriques qui relient 2 neurones),
  • Composé important de la myéline (gaine autour des fils électriques),
  • Assure la transmission rapide des informations de notre cerveau.

Il permet donc un bon fonctionnement du cerveau et une bonne circulation de l’information.

Il sert également de :

  • Précurseur des œstrogènes et androgènes,
  • Précurseur de la vitamine D (anti-inflammatoire qui aide l’organisme à lutter contres les infections).
  • Forme les acides biliaires indispensables à la digestion des graisses.

Toutes les cellules du corps ont besoin de cholestérol.

Bon ou mauvais cholestérol, quelle différence ?

Le cholestérol LDL ou HDL ne sont pas du cholestérol en soi. Se sont des protéines grasses dont le rôle est de transporter le cholestérol présent dans le sang soit au niveau du foie, soit au niveau du cerveau.

LDL le « mauvais « 

Les lipoprotéines LDL se déposent sur les parois artérielles, à cause de l’oxydation due aux sucres. Ces plaques de graisses sont appelées plaques d’athérome, d’où le nom de « mauvais » cholestérol.Le cholestérol est un des nutriments essentiel des neurones.

Il est transporté au cerveau par le LDL.

Le LDL dit mauvais cholestérol capture le cholestérol du sang et le transporte aux neurones.

HDL, le « bon « 

Les lipoprotéines HDL ont pour rôle de capter les molécules de cholestérol sanguin en excès, pour les transporter vers le foie. Ce dernier se chargera ensuite d’éliminer le cholestérol par le tube digestif grâce à la bile. D’où « le bon cholestérol ».

Relation entre le sucre et l’augmentation du cholestérol sanguin ?

Quand on fait une prise de sang, on se rend compte que 75 à 80% du cholestérol a été directement fabriqué par le foie.

Seul 20% vient de l’alimentation.

Fabriquer celui-ci est fatigant pour le foie, c’est pourquoi il absorbe au maximum celui de l’alimentation.

Quand on consomme des aliments pauvres en cholestérol, le corps crie famine. Le foie sécrète donc une enzyme pour produire plus de cholestérol en utilisant les glucides (sucres).Quand on consomme des glucides en grandes quantités et que l’on diminue l’apport de graisses riches en cholestérol (œufs par exemple), la production du cholestérol par le corps augmente.

C’est donc une alimentation riche en sucre et pauvre en graisse qui est responsable du taux élevé de cholestérol sanguin.

Et les plaques d’athérome ?

Plus le taux de sucre sanguin augmente, plus il y a oxydation. Cette oxydation provoque la déformation du LDL qui ne peut plus jouer son rôle de transporteur du cholestérol vers le cerveau pour nourrir les neurones.

C’est cette déformation du LDL qui se colle sur les artères et entraine l’athérosclérose.

Rapport entre une élévation du cholestérol et les maladies cardio-vasculaire ? [2]

On constate que la moitié des patients ayant eu une crise cardiaque ont un taux de cholestérol normal.

En 2013, suite au scandale du médiator, beaucoup de patients ont arrêté de consommer des statines (médicament pour baisser le taux de cholestérol).

En 2016, l’INSEE a rendue ses statistiques sur le taux de mortalité suite à l’arrêt de ces médicaments.

Elle a constaté que cet arrêt massif des statines au lieu d’augmenter le taux de mortalité comme le prédisait les laboratoires pharmaceutiques, avait au contraire permis une baisse de 2000 morts en moins, alors que 50% des patients traités avaient arrêtés leur traitement.

Cette baisse est-elle à attribuer à l’arrêt des traitements (en raison des effets secondaires) ou de la prise de conscience des patients pour améliorer leur hygiène de vie globale?

Quels aliments riches en cholestérol privilégier ?

Matières grasses mono-insaturés :

  •  Huiles d’olive, de canola et d’arachide,
  • Margarine non hydrogénée,
  • Noix, graines
  • Avocats.

Matières grasses polyinsaturés :

  • Gras oméga-6 Huiles de carthame, de tournesol et de maïs,
  • Margarine non hydrogénée,
  • Noix et graines.

Matières grasses oméga-3:

  •  Poissons gras comme le maquereau, le hareng, la truite, le saumon, l’espadon, la morue et le goberge,
  • Huile de canola,
  • Œufs bio élevés en plein air,
  • Noix, pacanes et pignons.

Les matières grasses malsaines saturées :

  • Viandes grasses,
  •  Produits laitiers entiers,
  • Noix de coco,
  • Huiles de palme et de palmiste,
  • Restauration rapide,
  • Aliments contenant de l’huile végétale hydrogénée.

Conclusion :

Grâce à l’étude de l’INSEE, il s’avère que la preuve est faite de l’absence de lien entre cholestérol et maladie cardio-vasculaire.

L’augmentation du cholestérol fabriqué pas notre corps est attribuable à une augmentation de la consommation de glucides aux dépens des matières grasses riches en oméga 3 et des aliments naturellement riches en cholestérol comme les œufs.

Le cholestérol issu des aliments qui en sont riches est bon pour notre cerveau et pour toutes nos cellules.

J’espère que cet article vous aura plu.

Corinne Allemoz

 

[1] Docteur David Permultter : ces glucides qui menacent notre cerveau.
[2] Docteur Georges Delorgevil : cholestérol et maladies cardio-vasculaires.

 

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Alimentation

Ces lipides qui donnent la pêche

Les lipides

Les graisses à consommer et à éviter

Graisses lipides consommation

Le problème majeur de toutes les maladies chronique est l’inflammation. En chercher l’origine tant dans l’alimentation que dans les éliminations ou les comportements toxique, permet de la réduire voir de la supprimer.

Dr  David Permultter

 

De nombreuses recherches montrent qu’une alimentation riche en glucides (sucre) et pauvre en graisses augmente sensiblement le syndrome inflammatoire.

 

1- Graisses pilier de notre santé :

  • Notre cerveau est constitué de 70% de lipides (graisses).
  • Une alimentation riche en glucides et pauvres en lipides, augmente les risques de d’Alzheimer et de Parkinson [1].
  • Les graisses jouent un rôle primordial sur la régulation du système immunitaire.
  • Les oméga 3 et graisses mono-insaturées (bonnes graisses) diminuent l’inflammation.
  • Une alimentation riche en graisses aide dans la régulation des maladies auto-immunes, de l’hyperactivité, de l’autisme, de l’épilepsie [2]
  • Certaines vitamines (A,D,E,K) ont besoin de lipides pour être assimilées

 

Une carence en vitamine K empêche la formation de caillot et favorise les saignements ; elle protège le cerveau et les yeux.

Une carence en vitamine A augmente les risque d’infection.

Une carence en vitamine D augmente les risques de dépressions, Alzheimer, Parkinson, maladies auto-immune.

 

2- Où trouver les bonnes graisses ?

Il y a les graisses mono-insaturées que l’on trouve dans :

  • Les avocats
  • Les olives
  • Les noix
  • Les noisettes
  • Les amandes

 

Les omégas 3 que l’on trouve dans :

  • Les noix
  • Le saumon Sauvage
  • Les anchois marinés (non cuit) voir recette ICI 
  • Les sardines
  • Les maquereaux (marinés de préférences)
  • Les harengs
  • Huile de Colza ou de noix

Pour en savoir plus sur les omégas 3, je vous invite à lire l’article :

Oméga 3: colza et oléagineux

 

Les graisses saturées non transformées :

Toutes nos cellules ont besoins de graisses saturées, car leurs membranes en sont constituées à 50%.

Les graisses saturées pris en quantités raisonnables contribuent au bon fonctionnement de nos poumons, cœur, os, foie, système immunitaire.

On les trouve dans :

  • Le beurre de préférence cru non pasteurisé. Ne pas le faire cuir car il se transforme en graisse trans nocive.
  • L’huile de coco.

 

3- Les graisses à éviter :

Ce sont toutes les graisses hydrogénées et Trans.

On les trouve dans :

  • Les plats industriels (bio ou pas)
  • Les pâtes feuilletés non pur beurre (bio ou pas)
  • Les margarines (bio ou pas)

 

 

4- Quelle quantité consommer ?

Il est évident que de consommer des graisses de façon excessive sera tout autant nocif que de ne pas en consommer.

Toutefois, il est prouvé que les personnes en surpoids qui ont essayées plusieurs régimes ont souvent une carence en consommation de graisses et une trop grande consommation de féculent et autres glucides (qui font grossir).

Pour perdre du poids et plus simplement rester en bonne santé, il est nécessaire de réintroduire les graisses dans l’alimentation et diminuer les glucides.

Le bout de lard dans la soupe de nos ancêtres était une bonne alimentation [1]

  • Glucides : 10%
  • Graisses : 6%
  • Protéines : 30%
  • Légumes: 40%
  • Fruits : 4%

 

Une alimentation pauvre en glucides et avec une bonne proportion de graisse diminue :

  • Le poids
  • La sécrétion excessive d’insuline et contrôle la glycémie.
  • Contrôler la glycémie permet de baisser la protéine C réactive que l’on trouve dans les maladies inflammatoires et les maladies auto-immunes.
  • Les risques d’AVC
  • Les maladies dégénératives : parkinson, Alzheimer, autisme.
  • La dépression, le stress.

 

Nous verrons la prochaine fois les dernières avancées sur le cholestérol : bon ou mauvais pour la santé ?

 

 

[1] Docteur David Permultter : ces glucides qui menacent notre cerveau.
[2] Docteur Natasha Campbell spécialiste en neurologie et nutrition : le syndrome entérophysiologique et entéropsychologique : GAPS

 

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STRESS : 10 astuces pour le gérer

La gestion du stress : 10 astuces

montagne naturopathie stress

Vos croyances deviennent vos pensées, vos pensées deviennent vos mots, vos actions deviennent vos habitudes, vos habitudes deviennent vos valeurs, vos valeurs deviennent votre destinée.
Gandhi

 

Les événements pénibles font partis de notre vie. Si tout était toujours rose et serein, comment pourrions-nous grandir à l’intérieur ?

 

Arriver à cet état de calme intérieur alors qu’une tempête vous secoue comme une coque de noix sur l’eau, c’est ce que j’amène à tous ceux qui en ont besoin.

 

Revoir toute son hygiène de vie, de penser, de regarder le monde et la vie, afin d’améliorer sa santé ; permettre de guérir les maux du corps et de l’esprit.

 

La santé passe par le(s) corps : physique – mental – émotionnel- spirituel.

 

Pour vous aider sur ce chemin, voici 10 astuces qui marchent.

 

1) Se défouler se défouler

 

Même si « cela ne se fait pas », n’hésitez pas à taper du pied, élever la voix, pleurer ou frapper du poing sur la table pour évacuer votre stress ! Cela vous permettra de libérer instantanément les énergies mobilisées par le stress. Si vous êtes chez vous, avec vos enfants, organisez une grande bataille d’oreillers ou une bonne séance de chatouilles – effet anti-stress garanti !

 

2) Visualiser des images positives

image montagne

Si vous le pouvez, isolez-vous, et repensez à un lieu que vous aimez et qui évoque pour vous la sérénité : une plage de sable fin, une forêt luxuriante… Laissez-vous progressivement envahir par cette image, des odeurs, des bruits. Mettez vos sens en éveil pour capter ce bien-être, réduire votre stress et retrouver votre calme intérieur.

 

3) Détendez-vous détente

 

Prenez du temps pour vous étirer puis dénouez vos articulations et vos muscles en les contractant pendant quelques secondes avant de les relâcher. Commencez par les poings, puis les épaules, le ventre et enfin les jambes.

 

4) Respirez dans les règles de l’art   

respiration lotus

C’est-à-dire, en gonflant le ventre, siège des émotions. Inspirez profondément par le nez pour effectuer un massage abdominal interne, puis expirez doucement par la bouche en contractant les abdominaux, sans rentrer le ventre. Recommencez plusieurs fois de suite.

 

5) Baillez  

bailler bébé

Idéal pour augmenter le taux d’oxygénation du cerveau et s’offrir une détente profonde ! Votre bâillement est contagieux ? Tant mieux ! Vos faiseurs de stress se détendront aussi.

 

6) Riez 

sourire

Le meilleur moyen de dédramatiser et de faire retomber la pression ! Une minute de rire équivaut à quarante-cinq minutes de relaxation ! Vous pourrez ensuite prendre du recul plus facilement.

 

7) Relativisez  

relativiser

Si vous réussissez à prendre du recul, vous verrez qu’un événement qui vous a particulièrement stressé n’était pas aussi important qu’il y paraissait. Rappelez-vous qu’en état de stress nous percevons les choses différemment.

 

8) Parlez de vos soucis 

parler

Faites table rase de tout ce qui vous préoccupe, de tout ce qui vous stresse en parlant avec vos proches, vos amis, ou vos collègues. Exprimez vos envies, désamorcez les conflits, dites haut et fort ce que vous pensez !

 

9) Définissez vos valeurs 

valeur

Si vous êtes clair avec vous-même, si vous connaissez vos objectifs et vos limites, et si vous vous y tenez, vous constaterez que vous ne vous laisserez plus aussi facilement influencer par l’opinion ou les réactions des autres.

 

10) Gérez votre temps 

gestion temps

Apprenez à connaître votre rythme, établissez un programme réalisable dans le temps qui vous est imparti. Gérez dans l’immédiat les priorités en laissant pour plus tard les tâches mineures. Et essayez de vous offrir des temps libres.