Categories
Corps émotionnel Corps physique

Nerf vague Le régulateur de votre bien être

Nous sommes régit par deux systèmes nerveux dits « autonome » ou « automatique ».

Le système (ortho)sympathique et le système parasympathique.

système nerveux sympathique prépare le corps à une activité physique intense alors que le système nerveux parasympathique détend le corps en inhibant les fonctions à haute énergie.

Le système nerveux (ortho)sympathique est un accélérateur avec pour chimie principale l’adrénaline et le cortisol.

Le système parasympathique est le frein du système sympathique. Il a pour chimie, l’ocytocine et la noradrénaline.

Le système parasympathique est gouverné par un nerf bien spécifique 

Le nerf vague ou pneumogastrique.

Il est aussi appelé nerf 10.

Contrairement aux autres nerfs sortant du cerveau, c’est le seul qui ne fonctionne pas par pair.

Il est unique, toutefois, il se divise en deux branches asymétriques.

1ère, La branche à gauche qui passe sous la crosse de l’aorte pour remonter dans le cou et actionner les cordes vocales, le pharynx et les muscles du larynx.

Il permet aux cordes vocales de se contracter et de se relâcher. Il commande aussi la tension et la longueur des cordes vocales.

Il maintient les cordes vocales ouvertes lors de la respiration et fermée pendant un cri, la toux, le rire, les pleurs, les vomissements et la phonation.

2ème, La branche droite descend dans les profondeurs. Il passe par l’œsophage, le cœur, l’estomac, le foie, les viscères.

Il informe le cerveau du ressenti d’une action, de la sensibilité et de l’excitabilité perçue par l’organe cible.

Il est « l’homme à tout faire » du système nerveux et le « chef d’orchestre » du système nerveux parasympathique..

Il est très sensible au stress qui va le bloquer et interrompre les actions automatiques de notre corps notamment au niveau de la respiration, du rythme cardiaque apaisant et de la digestion.

Les fonctions du nerf vague :

– Sensation cutanée, Température et humidité des oreilles

– Sensation de la pression au touché

Avaler sans faire de fausse route

– Régit les cordes vocales (une voix rauque et monotone dénote d’un mauvais tonus vagal).

– Contrôle la respiration profonde et lente (quand nous sommes stressé, la respiration est plus courte et accélère, il vient remettre l’équilibre)

– Régule la fréquence cardiaque et évite les emballements cardiaques

– Permet le péristaltisme intestinal et la bonne progression du bol alimentaire (en cas de stress, le rythme cardiaque accélère et la digestion s’arrête)

– maintient la pression sanguine au plus bas et évite ainsi l’hypertension dû à la prise de pouvoir du système orthosympathique

Régit les 500 fonctions du foie :

         – vidange de la vésicule biliaire

         – Transport des informations vers le foie et du foie vers les organes cibles

         – contrôle la production de la bile et des selles biliaires (qui éliminent les toxines par les selles)

         – gère la sensation de faim et de satiété

         – Informe de la quantité suffisante de glucides, lipides et protéines (en cas de stress, cette information ne passe plus ce qui augmente la prise de poids, d’où l’intérêt de manger dans le calme et de mastiquer les aliments pour informer de la satiété).

– Gère la quantité de sucre sanguin et insuline

D’où l’importance de calmer son stress pour « protéger son foie »

Réactions corporelles dues au blocage du nerf vague lors d’un stress :

En cas de stress il y a sécrétion d’adrénaline et de cortisol au niveau des surrénales afin de mettre le corps en activité intense.

Il est dans ces cas-là, hors de question pour le corps que d’autres fonctions « non essentielles » si considéré qu’il y a danger puissent se faire.

L’activation du système nerveux orthosympathique, va donc bloquer le nerf vague (système nerveux parasympathique).

  • Gorge nouée
  • Voie altérée
  • Bouche sèche
  • Nœud au niveau du plexus solaire
  • Augmentation des sucs gastriques – brulure estomac
  • Accélération cardiaque – respiration rapide et courte
  • Arrêt du péristaltisme et de la digestion
  • Arrêt de la fabrication de bile
  • Augmentation de la glycémie sanguine

En cas de stress chronique, on peut comprendre qu’il y ait :

– Des tensions au niveau du larynx, qui entraine des douleurs musculo-tendineuses avec gène à la déglutition.

– Des altérations de la voix par manque de lubrification de salive et contraction de la position fermée et/ou ouverte des cordes vocales

– Des palpitations avec arythmie

– Des essoufflements ou sensation d’oppression dans la poitrine

– Des reflux oeso-gastriques et ulcère en conséquence

– Colopathie et ballonnement.

– Alternance de diarrhée et constipation

– Chute du système immunitaire. Car lorsque nous avons la peur au ventre, nous bloquons l’action du nerf vague.

Cela va entrainer à la longue un dérèglement du nerf vague et du système para sympathique par sur activité du système orthosympathique.

Le malaise vagal :

Le malaise vagal survient consécutivement à une baisse de la pression artérielle, associée à une baisse du rythme cardiaque. Cette baisse de tension peut être provoquée par un déséquilibre entre les systèmes nerveux orthosympathique et parasympathique.

Lors d’un malaise vagal, c’est le nerf vague qui, sous le choc par exemple d’une émotion forte, ralenti l’activité cardiaque brutalement. La pression artérielle chute et l’oxygène circule alors au ralenti, y compris vers le cerveau, ce qui provoque le malaise qui peut aller jusqu’à la perte de connaissance.

Ce malaise impressionnant n’a rien de dangereux en soi. Il montre par contre à quel point le système autonome est déséquilibré et fragilisé par un stress chronique ou des traumatismes anciens.

Activer le nerf vague et calmer le stress :

  • Vous masser le long du cou le long des artères carotides pour relâcher les tensions.
  • Le chant qui va détendre les muscles du larynx et les cordes vocales
  • La cohérence cardiaque qui apporte une synchronisation entre le rythme cardiaque et la respiration. 5 minutes deux fois par jour.
  • Éviter toute stimulation extérieur (bruits, lumières, …),
  • Veiller à un bon apport de magnésium – calcium (régulation cardiaque)
  •  Prendre des infusions de passiflore -mélisse – verveine – tilleul

Conclusion :

Comme vous le voyez, le fonctionnement de cette belle machine qu’est notre corps est complexe.

C’est pourquoi, même s’il est efficace de calme le système orthosympathique et de permettre d’activer le système parasympathique et que le nerf vague puisse faire son travail …. Il reste important de comprendre au dela du soulagement POURQUOI, il y a un dérèglement de ce système de survie.

La naturopathie peut vous y aider, en cherchant les causes au-delà du corps physique.

Pour rappel, la santé La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité. (OMS)

Extrait en parti du livre de Jean Abitbol : Le pouvoir de la voix
Categories
Corps émotionnel Corps physique Corps psychique Stress-émotions

Comment se reposer vraiment ?

Pour véritablement se reposer, il ne suffit pas seulement de dormir plus et de faire une diète.

Pour récupérer de plusieurs mois éprouvants aussi bien physiquement que psychologiquement, corps et cerveau ont besoin de trois types de repos différents.

Ces 3 sortes de repos sont en correspondance avec les membres de votre équipe intérieure. Chacun ayant ses propres besoins pour récupérer de l’énergie.

1-Le repos social

Même si nous adorons voir du monde, parler, échanger et être avec nos amis, cela nécessite une sollicitation de la part de notre corps et de notre cerveau.

Sans qu’on s’en aperçoive cela peut être fatigant.

Chaque interaction sociale nécessite une attention soutenue, à la fois aux autres, à ce qu’ils disent, à leur langage corporel, mais aussi aux nôtres.

Pourquoi ?

Parce qu’on peut ne pas se sentir complètement à l’aise et rester dans le contrôle.

« En tant qu’humain, on interagit avec nos congénères avec le plus haut degré d’intentionnalité, même si on en a peu conscience au quotidien.

Ce qui nous fait adopter parfois une posture sociale, on est attentif à son comportement, ce qui fait que nous sommes toujours en état d’alerte»[1]

Cela est d’autant plus fatigant quand nous sommes dans un bar ou un restaurant ou tout autre environnement bruyant. Qu’il soit personnel ou professionnel.

Que faire pour se reposer socialement ?

Prendre du temps pour soi seul-e

 « Être seul et ne rien faire est le moment par excellence où notre attention n’est pas détournée sur l’autre. On pourra alors baisser sa garde et faire le tri dans nos pensées, nos émotions, et évacuer celles qui nous épuisent » [1]

S’entourer de personnes qui nous font du bien et de se couper de celles qui nous épuisent.

Les premières peuvent aider à nous ré-énergiser.

« Il faut seulement 21 millième de seconde pour qu’une émotion passe d’un individu. à un autre. Ce qui signifie que dès qu’on est en interaction avec quelqu’un, on attrape ses émotions. Si ce sont des personnes bénéfiques, aux pensées positives, elles vont nous aider à nous réguler et nous apaiser émotionnellement. » [2]

2- Le repos émotionnel

Les émotions rythment nos journées mais ne sont pas sans conséquences.

« Certaines sont énergivores : quand elles s’invitent au mauvais moment, avec une trop grande occurrence, quand elles ne sont pas justifiées… Tout cela provoque une chimie pesante qui demande beaucoup d’énergie au cerveau et au corps pour les évacuer »[2]

L’alimentation joue également un rôle primordial dans la régulation de nos émotions. « Il y a un dialogue constant entre le cerveau « du bas », notre intestin, et le cerveau « du haut ». Ce que l’on mange a une incidence sur certaines zones du cerveau, et notamment celles qui contrôlent nos émotions »[2]

Des aliments trop transformés, ou plus généralement la «malbouffe», rendent plus difficiles la digestion, créent eux-aussi des angoisses factices et obligent le cerveau à travailler davantage.

Que faire pour se reposer émotionnellement ?

Changer d’air, et de se placer dans un espace calme et relaxant

 « Le cerveau, qui a une très grande capacité d’adaptation, va entrer en résonnance avec l’environnement serein autour de nous et naturellement baisser son niveau d’anxiété. »[2]

Adopter une alimentation plus légère et équilibrée tout au long de l’année.

Cela soulagera le corps et le cerveau en permettant une meilleure sécrétion de la sérotonine au niveau des intestins

3- Le repos sensoriel

On a tendance à l’oublier mais l’utilisation de nos sens, et surtout de l’ouïe, fait travailler notre cerveau sans arrêt.

  • Bruits de la ville,
  • klaxons,
  • conversations autour de nous,
  • notifications de messages reçus sur téléphone ou ordinateur.

Toutes ces « stimulations permanentes forment une surcharge cognitive et peuvent être une source de fatigue» [3].

Autant de sons permanents et nuisibles à long terme

« Diminution du système immunitaire, perturbation du système cardio-vasculaire, tout le système para-sympathique est malmené alors que c’est justement cette partie du système nerveux qui nous aide à nous reposer»[3]

Que faire pour se reposer sensoriellement ?

Faire des pauses silencieuses au cours de la journée.

« Dans tout système biologique, une phase d’activité est associée à une phase de régénération. Le cerveau n’échappe à la règle : il a fondamentalement besoin de moments de silence pour se régénérer » [3].

Se promener dans un parc,

S’isoler dans une pièce calme sans son téléphone, plusieurs minutes chaque jour est déjà un bon moyen de se reposer.

On peut également opter pour quelques minutes de sons qui poussent le cerveau à sécréter des hormones du bien-être.

Veiller à une bonne qualité de sommeil.

 « Le sommeil lent profond est le plus récupérateur, physiquement et émotionnellement. » [1]

Le sommeil profond étant la phase de récupération nerveuse et corporelle pour se régénérer.

Pour atteindre ce sommeil profond, il est essentiel de réduire le niveau d’anxiété.

[1] Laure Verret, maître de conférences en neurosciences à l’Université de Toulouse.
[2] La Contagion émotionnelle, de Christophe Haag, Éd. Albin Michel, 2019, p464
Christophe Haag est aussi professeur à l’EMLyon.

[3] Michel le Van Quyen est l’auteur de Cerveau et Silence, Éd. Flammarion, 2017, p256
Extrait de l’article paru dans madame figaro : Les trois types de repos dont le corps et le cerveau ont besoin https://madame.lefigaro.fr/bien-etre/vacances-les-trois-types-de-repos-dont-corps-et-cerveau-ont-besoin-230721-197521

Categories
Corps émotionnel Corps physique Corps psychique Corps spirituel

Burn Out ou épuisement professionnel : un autre regard

Pour avoir vécu un Burn Out en 2014 et en être sortie sans aucun médicament, je voudrais vous apporter une aide et mon expérience pour l’éviter et aussi en sortir si vous êtes déjà dedans.

« Nous nous guérissons nous-même dès que nous cessons de nous en empêcher. » Thierry Bernardin

Introduction :

Le monde actuel avec la crise du covid, entraine beaucoup de pressions qui peuvent mener au Burn out ou syndrome de l’épuisement professionnel. [1]

Le Burn-Out – Qu’est-ce que c’est ? 

Le burn out  (épuisement professionnel), est une maladie dont la principale manifestation est une grande fatigue physique, émotionnelle et mentale.

Il touche en moyenne 17% des Français actifs.[2]

Il peut démarrer de façon sournoise, mais ce qui le déclenche est toujours un choc émotionnel au sein de l’entreprise (harcèlement – conflit – relationnel tendu avec la hiérarchie – non reconnaissance etc…)

Différence entre burn out et depression ? [3]

Si le burnout se manifeste en premier lieu dans le cadre de la sphère professionnelle, la dépression concerne, elle, tous les aspects de la vie de la personne. On parle d’état dépressif alors que le burnout est un processus de dégradation de rapport au travail.

Dans le cas du burn-out , la prise d’antidépresseur n’est pas nécessairement la 1ère chose à envisager.

Les causes selon le Docteur Pierre Jean Thomas Lamotte : [4]

 « La maladie est une compensation symbolique inconsciente.

La cause primordiale d’une maladie étant une douleur ou une souffrance morale qui n’a pas été exprimée par la personne ».

Dans le cas d’un burn out, il est constaté qu’il y a toujours un choc émotionnel relationnel ancien non résolu et non exprimé (le programmant), qui est réactivé lors d’un conflit en rapport avec l’autorité (le déclenchant).

C’est à ce moment là que le cerveau met en place la « mal-à-dit ».

Il est également constaté que le burn out va se déclencher 6 mois après le choc récent. Ceci en raison de la résistance du corps et du mental pour ne pas reconnaitre le traumatisme et tenir le coup face à la situation vécue.

Mon retour sur expérience du début à l’effondrement :

J’ai eu le 1er choc (déclencheur ) en septembre 2013, suite à un conflit professionnel avec un supérieur, où malgré l’explication de ma non responsabilité, j’ai reçu un avertissement, pour recevoir « une leçon ».

Or, j’ai dans mon histoire personnelle (évènement mis au jour à posteriori) un autre choc similaire (programmant) arrivé à l’âge de 23 ans, où j’ai reçu des coups non justifiés dans un conflit entre mes parents et moi.

Le burn out, c’est-à-dire le moment où, je me suis écroulée a été exactement 6 mois plus tard, soit en mars 2014.

Il s’est produit après une escalade d’affrontements avec la hiérarchie (3 lettres d’avertissement).

Un jour, à mon retour de congé d’hiver, le fait de savoir que la « personne déclencheur » du conflit allait être là, pour mon corps cela a été le coup de trop.

J’ai été prise de vertiges avec incapacité de me lever…pendant 1 mois.

Il est à noté qu’aujourd’hui encore (2020), à la date anniversaire de cet écroulement, si je suis dans une période de trop grande activité et fatigue….je suis prise de vertiges qui m’oblige au repos.

 

Les signes avant-coureurs :[5]

  • Manque de motivation et repli sur soi.
  • Fatigue générale avec résistance entrainant des troubles du sommeil.
  • Troubles de la mémoire et de la concentration. (qui perdurent longtemps, j’en suis encore affectée)
  • Douleurs au dos, migraines…
  • Troubles du sommeil et de l’humeur comme une irritabilité marquée. Ou au contraire une absence d’émotion qui met dans un état de semi-robot.
  • Anxiété avec syndrome de persécution.
  • Négativité avec indifférence et non attention à ce qui se passe au dehors.

La situation évolue vers la perte d’estime de soi et les difficultés pour surmonter l’épuisement physique et mental s’accumulent. 

Que dit le décodage biologique [6] :

Burn out :

On va trop loin, on brûle toutes ses cartouches, on continue coûte que coûte et à un moment le corps dit stop.

Peut être associé à une phase aigüe de la fatigue chronique.

Fatigue chronique

Conjonction de 4 conflits

Conflit de dévalorisation peur de tomber

Conflit de dévalorisation dans l’impuissance

Conflit de peur de se tromper de direction

Conflit écroulement de l’existence et ou lié à un liquide

Au lieu de donner 4 maladies le cerveau inconscient fait la synthèse n’en donne qu’une.

Symptômes de la fatigue chronique

Pseudo paralysie fonctionnelle qui oblige à se reposer.

Quel est l’excès de travail activité qui est à l’origine du dysfonctionnement ?

Signes d’une dépression sous-jacente.

 Dépression infantile masqué et jamais solutionné.

Prévenir le Burn Out

1-   Prise de conscience

  • Si, on vit une situation professionnelle qui entraine, une grande fatigue, une démotivation et un dégout pour son travail avec sentiment de non reconnaissance pour le travail fourni.
  • Si, on vit une situation de conflit avec la hiérarchie.
  • Si, on vit une mutation non désirée avec changement de statut professionnel.
  • Si, on vit une situation que l’on a du mal a accepter car cela porte atteinte à sa notion de liberté (port du masque par exemple).

Et que ces différentes situations entrainent les signes avant-coureurs. Il est important de chercher dans son histoire quelque chose de similaire qui nous reste « sur la patate » comme on dit.

2- Se faire aider le plus tôt possible :

  • Suivre une thérapie et/ou contacter la médecine du travail.
  • Faire un retour à soi, revoir ses priorités au niveau professionnel, réfléchir sur ses aspirations, ses ressources et ses limites.
  • Chercher la cause et la libérer par des techniques énergétiques de libération émotionnelles ( technique que je pratique dans mes accompagnements, après mise au jour des causes traumatiques des situations).

Les solutions naturelles :


1- La relaxation :

Respirer est essentiel à la vie et permet de ressentir à nouveau les parties de son corps pour en reprendre possession.

La relaxation est un moment qui favorise la détente physique et mentale par la prise de conscience de son souffle associé à de la  visualisation des parties de son corps.

Elle soulage entre autre, les migraines, les tensions, les contractures, apaise le mental, relance la circulation sanguine et régule le fonctionnement des organes internes.

2- La méditation [7] :

Se poser et poser un mental fatigué qui a besoin de paix. Voilà la première mission de la méditation.

Assis ou couché, les yeux fermés.

Cette gymnastique cérébrale permet de développer la conscience de soi, et l’estime de soi.

Les étonnantes vertus de la méditation sur le cerveau et l’organisme  sont nombreuses. Par exemple la réduction du stress et des douleurs chroniques, et le ralentissement du vieillissement  cérébral.

3- Sortir dans la nature :

Le contact avec la nature ramène à l’intérieur de soi une fréquence et une vibration harmonieuse qui calme, détend le corps autant que le mental.

Utiliser ses 5 sens pour apprécier ce qui nous entoure et se reconnecter à la joie. 

Observer la beauté de la nature et son unité, quelque soit le paysage, apporte un apaisement et une énergie nouvelle en récupérant des ions négatifs excellents pour le corps.


4- Une nourriture saine et équilibrée :

Revenir à une nourriture plus vivante avec les légumes et les fruits de saison, mais aussi manger dans le calme, en conscience, en prenant son temps, et apprécier ce que l’on mange, améliore la digestion, nous fait manger moins, et favorise la reconnexion avec son corps.

4- Détoxiquer son corps :

Le stress accumule dans le corps une dose énorme d’adrénaline et cortisol néfaste à haute dose.

Faire des mini diètes, juste de soupe ou de jus de légumes, associé à quelques plantes en infusion peuvent aider les organes à faire le ménage.

Il existe des plantes comme la reine des près, le pissenlit, le romarin pour cela.  En tisane ou en gélule, vous pouvez les trouver dans n’importe quel magasin diététique.  

5- pratiquer une activité physique :

Même si le burn out est dû à un épuisement, il est necessaire et indispensable de pratiquer une activite physique afin de remettre l’énergie en excédant dans le mental, au niveau du corps physique. L’activité physique favorise l’alignement entre notre corps, nos émotions et notre mental et permet de nous sentir en connection avec notre esprit. La cohérence de toute notre équipe, passe par ce mouvement du corps qui équilibre les énergies en nous.

Il n’est pas nécessaire de pratiquer quelque chose qui fait transpirer, des mouvements de Qi Cong, tai chi, yoga, Pilate ou autre pratique de détente corporelle suffise à réharmoniser.

Conclusion :

Prévenir le burn out (ou syndrome de l’épuisement professionnel) et le voir arriver est une chose, toutefois, il reviendra si une prise de conscience qu’il y a quelque chose à résoudre en soi n’est pas résolue.

Également si la façon de vivre en générale n’est pas revue.

Voici mon chemin de « guérison personnel ».

  • Je me suis arrêtée pour me REPOSER et récupérer physiquement.

Et cela est vrai chaque jour de ma vie grâce à de mini-siestes de 10 à 15 minutes chaque jour (que je pratiquais aussi sur mon lieu de travail).

  • J’ai CHERCHE DANS MON HISTOIRE le programmant (notre corps est une grande unité centrale qui n’oublie rien, mais certains traumatismes peuvent être comme des trojan et faire des bugs si on ne les élimine pas).

En effet, chercher les causes de nos maux et y mettre des mots permet de sortir de ces programmes erronés et des imprégnations qu’elles laissent en nous.

Le DECODAGE BIOLOGIQUE est un outil précieux pour comprendre le langage de notre corps.

  • Fait une LIBERATION EMOTIONNELLE du programmant. Également j’ai libéré les différents chocs sur les 6 mois écoulés.

La libération émotionnelle est une technique énergétique qui permet de faire remonter le choc émotionnel ciblé et de laisser vivre l’émotion et les sensations corporelles qui s’y rapportent. Ceci évacue « l’empreinte » corporelle qui peut être assimilée à un virus dans un ordinateur.

  • REVUE MON AVENIR PROFESSIONNEL et ce que je voulais vraiment vivre dans ma vie.

Un burn out est souvent une fabuleuse opportunité de comprendre qu’il est temps de changer sa façon d’être et peut être son orientation professionnelle et que sa venue si elle n’a rien du hasard par notre histoire, est là aussi pour nous inviter à prendre un autre chemin dans notre vie.

Je pensais depuis longtemps à une reconversion professionnelle et « comme par hasard » à la même période je finissais ma formation de naturopathe et découvrais l’énergétique.

  • JE ME SUIS RECONNECTE A MOI : relaxation – méditation – jeun d’une semaine – sorties dans la nature – alimentation détoxifiante pour retrouver de l’énergie (j’avais perdue 4 kilos avec cet épuisement).

Et ces solutions naturelles que je vous ai exposées plus haut sont encore plus un art de vivre qu’elles ne l’étaient en 2014. Car au-delà du burn out, un changement de paradigme total de son hygiène de vie globale est le chemin le plus sur pour rester à flot dans les bouleversements que la vie nous propose.

Ces techniques ont toutes leur efficacité dans ce que nous vivons avec le covid par exemple.

  • Pratique du tai-chi, que j’enseigne ce qui m’a aidé à garder un moral sain.

Pratiquer une activité physique comme le tai chi, le qi cong, le wutao, le pilate, le stretching postural permet une véritable détente corporelle, garante de notre sérénité mentale.

  • PROJET D’AVENIR qui redonne une énergie et un nouveau souffle pour repartir et continuer le chemin.

Quand professionnellement on a le sentiment que notre vie ne vaut pas le coup, c’est toute notre vie globale qui prend ce qui peut entrainer dans une dépression grave. Garder des projets de vie, reconstruire un projet professionnel et s’y lancer permet de se libérer du burn out qui vient d’être vécu ou de l’éviter.

Ce burn out que j’ai vécu en 2014, m’a permis se tournant en changeant de métier et d’être aujourd’hui alignée en moi pour accompagner et aider à mon tour des personnes qui traversent de vraies crises existentielles physiques, émotionnelles et mentale.

Référence :

[1] : http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/covid-ou-pas-trop-dentre-nous-semblent-devenus-fous

[2] : https://fr.statista.com/statistiques/984186/salaries-burn-out-experience-france/#:~:text=Cette%20statistique%20montre%20la%20proportion,pouvoir%20le%20vivre%20un%20jour.

[3] : https://sante-pratique-paris.fr/a-savoir/prevention-a-savoir/burn-out-depression-faire-difference/#:~:text=Les%20diff%C3%A9rences%20notables%20avec%20la,d%C3%A9gradation%20de%20rapport%20au%20travail.

[4] : Docteur Pierre Jean Thomas Lamotte (neurologue) est l’auteur de : « Et si la maladie n’était pas hasard ». https://www.youtube.com/watch?v=GMahJfakfbo

[5] : https://www.has-sante.fr/jcms/c_2769291/en/burn-out-au-dela-des-debats-faire-le-bon-diagnostic-et-proposer-une-prise-en-charge-personnalisee

[6] : Bernard Thion auteur du biodico

[7] : https://www.petitbambou.com/fr/

Categories
Corps psychique Corps spirituel

La méditation au service de notre bien être

Nous sommes ce que nous pensons. Tout ce que nous sommes résulte de nos pensées. Avec nos pensées, nous bâtissons notre monde.

Bouddha.

Introduction :

La vie occidentale est source de stress et de déséquilibre permanent. [1]

Les personnes stressées qui vivent une impression de menace chronique, fabriquent trop de cortisol et peu à peu leur anxiété se transforme en dépression [2]

La base de notre pyramide de bien-être repose sur 4 piliers fondamentaux à notre sérénité et notre vitalité. Cette base représente pour notre inconscient quand elle est en équilibre le départ vers une possibilité d’évolution personnelle se référant à la pyramide des besoins de Maslow.

Ces 4 piliers sont :

Dans les moments d’épreuves ou les moments difficiles nécessitant d’accepter de perdre la maîtrise de sa vie, la méditation accompagne et nous soutient en permettant à notre corps de maîtriser nos émotions .

Les effets néfastes du stress :

Plus on est en état de stress, de peurs, d’anxiété ou de dépression, plus les effets sur notre corps s’accentuent entraînant un déséquilibre sur les bases de notre vitalité.

  • Manque de sommeil ou sommeil de mauvaise qualité et non réparateur (article ICI)
  • Changement des comportements alimentaires (compulsions, anorexie, boulimie, augmentation des quantités). (article ICI)
  • Démotivation à toute activité physique ou sportive avec diminution de plus en plus intense de bouger (Article ICI)
  • Augmentation des états de stress avec une accentuation de plus en plus accrue des 3 autres paramètres ci-dessus. (article ICI)

Pour aider à pallier durablement cet état d’être et ainsi cultiver le calme intérieur, la pratique de la méditation est de plus en plus encouragée par le monde médical.

« Méditer régulièrement peut apaiser et revitaliser profondément les personnes stressées ». [2]

Une étude publiée en 2015 [3], montre que méditer en pleine conscience est plus efficace que l’effet placebo pour lutter contre la douleur.

Les chercheurs encouragent une pratique régulière pour apprendre à se maîtriser physiquement et émotionnellement.

Ceci est d’autant plus vrai pour toutes les personnes dont le terrain naturel est psycho émotionnel [6]. Ce qui est notamment le cas des hypersensibles (article ICI).

Pourquoi méditer :[5]

  • Prendre soin de soi et de son mental
  • Vivre pleinement le moment présent
  • Se vivre mieux tout en acceptant ses équilibres et ses déséquilibres.
  • Entraîner son mental et retrouver la sérénité

« Apprendre à méditer pour vivre pleinement chaque instant, et non plus exister comme en pilote automatique »

Petit BamBou

Les bienfaits de la méditation :

Il a été démontré que la méditation participe à l’amélioration de beaucoup de paramètres de notre santé globale, tels que :

  • Le ralentissement du vieillissement cellulaire
  • Amélioration de l’attention et de la concentration
  • Diminution des maladies auto-immunes
  • Diminution des états de la dépression
  • La gestion des émotions
  • Augmentation de la créativité
  • Augmentation des performances cognitives et scolaires
  • Diminution des troubles anxieux.
  • Diminution des fringales
  • Amélioration du sommeil et de la vitalité globale.

Ces effets sont désormais mesurables par différentes études faites sur les patients qui ont essayés [2].

Comment méditer :

Il existe différentes formes de méditations.

  • Silencieuse
  • En musique
  • Guidée par une voie sur différentes thématiques
  • Mental-waves (qui utilise les fréquences de notre cerveau pour l’apaiser [4]

Apprendre à se mettre en mode « reset », c’est-à-dire en étant aligner au niveau de nos 3 corps ; mental – émotionnel et physique peut se faire rapidement grâce à une respiration maîtriser et volontaire.

Importance de la respiration en méditation :

La respiration est une des seules choses que nous pouvons maîtriser sur notre système automatique.

La respiration volontaire ou autre technique comme la cohérence cardiaque sont une base fondamentale pour la gestion des émotions.

Maîtriser sa respiration dans les événements du quotidiens permet dans l’instant de rester centré face à un danger ou une montée d’angoisse.

Apaiser le corps pour apaiser l’esprit.

En effet, le stress enclenche une hyperventilation spontanée. La reprise de contrôle sur la respiration va permettre de corriger la pression en dioxyde de carbone (CO2) et prévenir ainsi l’emballement de la panique.

La méditation guidée :

Cette forme de méditation est très intéressante quand on débute la méditation.

Elle permet d’apprendre progressivement à se poser, à respirer en conscience et surtout grâce à la guidance par la voie de ne pas s’échapper dans les pensées incessantes de notre mental ou tout simplement de s’endormir sur place.

Il existe aujourd’hui des sites ou des applications que l’on peut mettre sur son portable et qui propose des thèmes de méditations pour toutes les situations de la vie de l’enfance à l’âge adulte et aux séniors. [5]

Je l’utilise personnellement depuis plusieurs années et cela m’a même aidé une année à me préparer mentalement pour une randonnée de 16 jours à défaut d’être préparée suffisamment physiquement. Cette préparation mentale a fait ensuite ses preuves lors de la randonnée ou les difficultés sont passées de façon sereines et positives.

La méditation mental-waves :

Cette forme de méditation utilise des musiques basées sur nos fréquences cérébrales (article ICI).

Elle peut aussi allier la cohérence cardiaque qui est une respiration sur 5 temps.

Voici ci-dessous deux liens de cette forme de méditation à la fois apaisante et active.

Cohérence cardiaque avec musique wave :

Méditation mental-wave

J’aime utiliser ces méditations quand j’ai eu besoin de beaucoup de concentration ou après des séances individuelles de naturopathie parfois éprouvante en fonction des problématiques évoquées.

Également en cas de fatigue accrue par trop d’activités quotidiennes.

La méditation silencieuse :

Cette pratique de méditation est recommandée quand on a un peu plus d’expérience de la méditation.

Elle demande d’y aller progressivement en commençant par 5 minutes, puis 10 minutes, puis 20 minutes à 30 minutes voir plus.

Au bout de 20 minutes après une certaine agitation cérébrale, il y a un calme qui s’installe d’un seul coup et met dans un état de pleine conscience qui permet de se connecter à son cerveau droit et à son intuition.

Cette pratique méditative aide à :

  •  Laisser les idées arriver.
  • Se connecter à une certaine intuition.
  • Lâcher prise
  • Retrouver la paix et le calme de façon profonde
  • Également pour envoyer des intentions positives (amour, paix dans le monde…)

J’utilise cette méditation pour me mettre en route le matin. Quand je veux développer un projet et que tout se bouscule dans ma tête par un foisonnement d’idées.

Cette forme de méditation permet de ramener le calme et de clarifier les choses. Et ensuite, de travailler avec une parfaite efficacité en ayant des « flash » sur la conception du projet et sa mise en œuvre, ceci avec une efficacité accrue.

Conclusion :

Méditer à donc plusieurs avantages aussi bien sur le mental, sur l’état émotionnel que sur la détente corporelle qu’elle engendre.

Cette technique est une vraie thérapie en elle-même tout en servant d’atout à une meilleure vitalité quotidienne.

J’ai commencé personnellement la pratique de la méditation à la suite d’un burn out, et progressivement cela m’a aidé en parallèle des autres pratiques d’hygiène de vie globale instaurées dans ma vie pour en sortir sans aucun médicament.

Ref :
  • [1] Eric Garnier Sinclair (technologie et méditation – Taichi mag n°10)
  • [2] Christine Barois : psychiatre et auteure de « pas besoin d’être tibétain pour méditer ». Editions Solar.
  • [3] Etude publiée dans la revue scientifique : The journal neuroscience
  • [4] Alex Miche : chercheur dans les états modifiés de conscience et créateur de musiques thérapeutiques.
  • [5] Site internet petit Bambou : https://www.petitbambou.com/fr/
  • [6] test Bionalys des laboratoires Copmed, m’envoyer un mail pour connaitre votre terrain.
Categories
Corps émotionnel Corps physique

Votre thyroïde supporte-t-elle votre rythme de vie ?

Le Papillon est le symbole de la métamorphose, de la transformation, du changement vers ce qu’il y a de plus élevé.

Il nous enseigne à transformer consciemment nos vies, de laisser nos désirs se réaliser, et de créer de nouvelles situations pour améliorer le quotidien.

 

La thyroïde marque le lien entre les racines profondes de l’individu qui nourrissent ses désirs et sa réalisation.

 

L’eau est l’expression de notre potentiel ancestral, elle porte la mémoire de nos aïeuls. Ce potentiel vital est au service de l’évolution de l’individu.

La forme de papillon de la thyroïde prend alors tout son sens, le terrestre (chenille) permet à l’individu de s’élever vers sa transformation (papillon).

 

 

Introduction :

 

La glande thyroïde est un organe en forme de papillon situé au-dessous du larynx. En général la glande pèse 30g.

Dans le domaine de l’énergétique, elle porte le nom de palais de la croissance car elle joue un rôle fondamental dans le développement de l’individu.

D’abord dans la croissance osseuse dans l’enfance puis dans sa réalisation à l’âge adulte.

 

Rôle et fonctionnement de la thyroïde :

 

Les hormones thyroïdiennes régulent:

  • L’utilisation d’oxygène et l »activité du métabolisme basal.
  • Le métabolisme cellulaire
  • La croissance et le développement.

 

L’ iode est indispensable à la thyroïde. On l’apporte par l’eau ou certains aliments.

 

La thyroïde secrète 2 hormones dites peptides :

  • la thyroxine ou t4
  • la triiodothyronine ou t3.

2 autres organes exercent une action sur la thyroïde

 

L’hypophyse : produit une hormone qui stimule la thyroïde. La TSH.

La TSH permet à son tour la production des hormone thyroïdiennes t3 et t4.

 

L’hypothalamus : produit la TRH qui régule la sécrétion de la TSH.

Lorsque le taux d’hormones thyroïdiennes diminuent, l’hypothalamus secrète la TRH, qui stimule l’hypophyse pour libérer la TSH, qui va stimuler à son tour les t3 et t4, ce qui rétablit le taux sanguin normal

 

 

Ainsi les hormones thyroïdiennes régulent l’expression de la vie en nous 

 

En excès le système est hyper-sollicité et épuise ses réserves, en insuffisance l’individu s’effondre et devient apathique.

 

Causes :

Toutes les pathologies de la thyroïde sont mises en lien avec une difficulté de croissance, d’ordre physique, émotionnel ou psychique.

  • Un changement dans son environnement,
  • un bouleversement émotionnel,
  • un stress chronique,
  • un déséquilibre métabolique ou alimentaire
  • Un manque d’activité physique
  • Peu ou pas de temps de pause.
  • Mauvaise hygiène de sommeil

et tout peut se détraquer.

 

Dimension énergétiques et émotionnelles :

Ces deux paramètres jouent un rôle majeur sur l’équilibre de la thyroïde.

Cette glande appartient à la famille des glandes hormonale ET humorale.

Les humeurs faisant références autant aux liquides qu’au humeurs émotionnelles.

La thyroïde appartient au chakra de la gorge, premier niveau énergétique en lien avec le mental. Il parle des premières étapes de l’évolution de l’enfant par son expression et son identité.

Dans la lecture énergétique, les troubles thyroïdiens ont toujours pour origine une problématique liée à l’expression de soi.

Elle peut être physique si l’individu a été brimé à un moment de son existence.

Elle peut être d’ordre psychique si l’individu s’interdit de réaliser des projets de vie parce qu’il ne s’en pense pas capable ou n’a pas assez de temps ou s’auto sabote.

 

Il est donc nécessaire de prendre en compte autant l’aspect et les causes physiques, qu’émotionnelles et énergétique dans la démarche de rééquilibrage de la thyroïde.

 

 

Les principales maladies de la thyroïde sont :

L’hypothyroidie : 

qui se caractérise par une diminution de la production de t3 et t4.

Causes :

  • Traitement de la maladie de Basdow
  • Stress chronique
  • Carences alimentaires
  • Épuisement nerveux
  • Chocs émotionnels violents et récurrents
  • Exposition radioactive.

 

Les symptômes :

  • Manque d’énergie et de la fatigue.
  • Frilosité
  • Gain de poids
  • Ralentissement cardiaque
  • Irritabilité avec possible état dépressif.
  • Constipation.
  • Peau pale et sèche.
  • Perte de cheveux
  • Pertes de mémoire et difficultés à se concentrer
  • Règles irrégulière et /ou très abondantes.
  • Voix plus grave et enrouée.
  • Apparition d’un goitre.

 

Diagnostic :

  • La prise de sang avec un dosage des t3, t4 et TSH est nécessaire si plusieurs des symptômes décrit sont ressentis.

 

Évolution :

  • Si les dosages sont déséquilibrés il est nécessaire de surveiller et de suivre un traitement.
  • La prise en charge précoce permet de se diriger vers des solutions naturelles en rééquilibrant les causes et des compléments alimentaires qui stimulent la thyroïde.

Toutefois la surveillance médicale reste indispensable pour vérifier l’évolution.

 

L’hyperthyroidie:

Production excessive des hormones thyroïdiennes.

État de feu général.

Causes :

  • Stress Chronique
  • Maladie de Basedow
  • Nodules thyroïdien
  • Inflammation de la thyroïde de nature infectieuse ou autre
  • Prise de médicament riches en iode (hypotenseurs)
  • Trouble du fonctionnement de l’hypophyse.
  • Course contre la montre

 

Symptômes :

  • Palpitations cardiaque
  • Augmentation de la transpiration et bouffées de chaleur.
  • Tremblements.
  • Insomnie
  • Saute d’humeur
  • Nervosité
  • Selles fréquentes
  • Faiblesse musculaire
  • Souffle court
  • Perte de poids
  • Diminution, voir arrêt des règles
  • Sensibilité au niveau des yeux.

 

Diagnostic :

  • À la prise de sang on constate une baisse de TSH et une augmentation de la t4.

 

Traitements :

  • Anti thyroïdien empêchant la production excessive de nouvelles hormones.
  • Traitement à l’iode actif pour détruire une partie de la glande et ainsi réduire la sécrétion d’hormones.

 

Ces traitements entraînent le risque de faire apparaître une hypothyroïdie.

Une hyperthyroïdie non descellée peut par effondrement entraîner une hypothyroïdie, c’est pourquoi il est plus fréquent de parler d’hypothyroïdie.

 

Décodage biologique :

Mettre des mots sur les maux. Le décodage biologique permet une approche plus subtile et pourtant assez parlante de l’évolution des maux de la vie et leur sens sur la compréhension que notre corps essaye d’exprimer.

Thyroide :

La principale fonction de la thyroïde est de réguler le métabolisme cellulaire de base, d’être le carburateur, l’accélérateur au niveau des combustions cellulaires.

  • Nécessité de fuir au plus vite pour échapper au prédateur.
  • Conflit de na pas recracher le morceau assez vite.
  • Puisque mes seules possibilités physiques ne me permettent pas de réussir, il faudrait que je trouve une autre solution plus performante en terme de rapidité.
  • Impuissance de ne pas pouvoir agir assez vite face à un danger qui vient sur moi.
  • J’en suis incapable vu que j’ai tellement d’autre choses à faire.
  • Conflit lié à l’accélération ou au ralentissement du temps.
  • Conflit de non reconnaissance de ma vie. Il y a quelque chose en moi que mon clan ne reconnait pas.
  • J’ai le droit de vivre à la condition que….
  • Conflit de ne pas être né dans le bon sexe.

 

Hyperthyroidie :

  • Il faut aller plus vite, le temps manque. Je ne peux rien faire alors que c’est urgent.

 

Hypothyroidie :

  • Il faut ralentir, le temps va trop vite.
  • Compte tenu du résultat terrible que je redoute du fait que j’ai été trop vite, il faut ralentir à tout prix l’éxecution des choses.

Tout en gardant la capacité de ré-accélérer vite si nécessaire pour faire face à de nouveaux dangers (nodules froids ou goitre).

 

 

Les solutions naturelles :

 

  • Apporter à l’organisme les nutriments nécessaires au bon fonctionnement de l’organe.
  • Économiser l’organe en évitant de trop le stimuler en particulier s’il est déjà fragilisé.

 

En cas de stress chronique et d’épuisement du système nerveux, c’est la thyroïde qui prendra le relais pour tenir le coup.

Le risque c’est son épuisement à moyen terme.

Ralentir son rythme de vie :

Arrêtons de courir après le temps, en ayant toujours l’impression d’être toujours débordé. Cela sur-stimule notre thyroïde.

  • Réalisez de mini-pauses régulières.
  • Prenez le temps de vous poser 5 minutes toutes les heures avec des respirations calme et régulières.
  • Faire une sieste flash de 10 minutes après le déjeuner.
  • Gérer son emploi du temps en prévoyant ces temps de pause.
  • Prioriser les choses indispensables et oublier les urgences des autres.

 

Contact avec la nature :

  • Une promenade dans la nature régulièrement.
  • Du jardinage ou marcher pieds nus dans l’herbe.
  • Le simple contact des pieds avec la terre permet de recharger nos batteries intérieures et d’éliminer les charges positives (electricité statique) qui sur-électrisent notre organisme et épuisent nos réserves glandulaires.

Il existe des tapis de décharge pour les personnes régulièrement sur ordinateur.

 

Alimentation spécifique

A vérifier avec votre médecin si vous prenez un traitement style levothyrox

Pour produire les hormones thyroïdiennes la thyroïde à besoin d’une quantité suffisante d’oligo aliments.

Notamment d’iode, zinc et sélénium.

  • Iode : poissons de mer, huîtres, algues, sel de table.
  • Sélénium : huître, thon, noix du Brésil
  • Zinc: fruits de mer, surtout les huîtres, le bœuf, le foie.

 

Attention à l’iode en fonction de votre morphologie.

Si les embruns du grand large vous apportent sommeil et sérénité ; alors l’iode est faites pour vous. Si au contraire cela vous énerve et vous rend irritable, il sera nécessaire de limiter les aliments iodés.

 

Les aliments à éviter :

Certains aliments empêchent ou perturbent la fabrication des hormones thyroïdiennes en empêchant l’iode d’entrer dans la thyroïde ou en interférant avec l’enzyme qui permet de fixer l’iode à la tyrosine.

Si vous avez un dérèglement de la thyroïde il est donc préférables d’éviter :

  • Les crucifères (choux, brocolis, épinards, navets, rutabagas)
  • Certains féculents (mais, haricot lima, graines de lin, patates douces, pusses de bambou, cacahuète, racine de manioc).
  • Les aliments à base de soja : tofu, tempech, edmame, lait de soja et tout produits « lacté » de soja).
  • Certains fruits : pêches, poires, fraises.

Attendre 4h avant toute absorption de calcium ou aliment assimilé et de fer qui eux aussi diminuent l’absorption de la thyroxine.

Le fait de cuire ces aliments aide à réduire l’enzyme perturbatrice. Si vous devez consommer ces aliments, faites les cuire.

En cas hyperthyroïdie : les excitants comme le café, le thé, les sodas (coca) sont à proscrire.

 

Exercice physique à moduler :

Si vous êtes atteint d’hypothyroïdie, une pratique sportive va aider à remuscler et stimuler la baisse du métabolisme.

  • La marche
  • la natation d’intensité modérée

En cas hyperthyroïdie une activité sportive relaxante, tel que :

  • le tai-chi,
  • le qi-cong,
  • le pilate,
  • le strethching,
  • le yoga

 

Les compléments alimentaires :

Il est possible aussi d’aider l’organisme avec l’aide de compléments alimentaires qui devront toutefois être pris en fonction de chaque individu et de son état et avec beaucoup de prudence, en cas de traitement médicamenteux.

Le conseil de votre médecin ou l’aide en naturopathie en accord avec votre médecin peut dans ce cas être envisagé.

 

Conclusion :

Une bonne gestion :

  • de ses rythmes de vie,
  • de sa vie émotionnelle,
  • des temps de pauses,
  • un sommeil régulier,
  • une activité physique adaptée
  • un contact régulier avec la nature,
  • une alimentation spécifique et équilibrée
  • une diminution de prise de stimulants

aura une influence très positive sur des troubles thyroïdiens naissant.

 

 

référence :
  • dictionnaire abrégé du sens des maux : Bernard Tihon
  • Ostéopathie énergétique : par david sayag
  • Comment soutenir sa thyroide : jean brice thivent (magazine neosanté)
  • Naturopathie et pnns : corinne allemoz
Categories
Corps émotionnel Corps psychique

Que faire quand on a envie de rien ?

 Il faut entretenir la vigueur du corps pour conserver celle de l’esprit.

 Vauvenargues 

 

Introduction :

Au cœur de l’hiver et avec l’arrivée réelle et bénéfique du froid nous sentons en nous cette envie de rien qui s’installe.

Le froid et l’hiver sont pourtant des périodes bénéfiques car comme les plantes nous avons besoin de refaire descendre notre sève intérieure pour mieux nous fortifier et renaître en pleine forme au printemps.

 

Evidemment cette descente de sève, a un petit inconvénient dans notre société hyperactive et qui ne respecte plus les saisons…. C’est que nous nous retrouvons avec une bonne flemme et pas du tout envie de courir ou de nous agiter.

Epoque de l’année aussi, où les rhumes, gastro, lendemain des fêtes et fatigue que cette descente de sève entraîne, nous porte plutôt à vouloir nous « cocooner ».

 

Alors comment traverser cette période hivernale en gardant son énergie, sa vitalité tout en permettant à notre corps ce moment de pose et de retour à soi ?

Voici mes conseils pour vous ressourcer en douceur tout en respectant votre hygiène de vie globale… sans chocolat !!

 

Conseil n°1 : Reposez-vous

A cette époque de l’année la nature tourne au ralenti.  Comme elle, couchez-vous de bonne heure et dormez peut-être un peu plus que d’habitude. Vous ne vous en sentirez que mieux.

 

Le sommeil est bénéfique à notre équilibre et bien-être global.

Vous pouvez s’il n’est pas toujours là lire l’article complet écrit à ce sujet ci-dessous :

Sommeil la moitié de la santé.

 

 

Conseil n°2 : Mangez et buvez chaud :

Quand on est d’un naturel frileux manger du cru ou froid peut perte difficile.

 

Voici une petite recette pour garder les vitamines du cru tout en mangeant chaud:

  • dans un bol, émincez des crudités et couvrez les avant de les déguster d’un bouillon de légumes (un bouillon cube bio dilué dans l’eau peut faire l’affaire).
  • Dégustez de suite, vous garderez les bienfaits du cru, en vous réchauffant.

 

La soupe « classique » de légumes peut aussi être ajoutée aux crudités.

Côté boissons, usez et abusez des tisanes : alternez la tisane de thym (pour renforcer votre immunité) et celle de romarin (pour aider votre foie et vous tonifier).

Vous pouvez aussi boire des tisanes tonifiantes et dépuratives que vous trouverez facilement en magasin bio.

 

Conseil n°3 : Pensez à la vitamine C: 

Si vous ne souffrez pas d’insuffisance rénale, d’excès de fer et que vous ne prenez pas de médicaments pour le cœur, allez-y!

Choisissez une vitamine C de bonne qualité (l’acérola en magasin bio est souvent très bien) et prenez en 1 g / jour (ça peut paraître beaucoup mais les quantités qu’on vous conseille officiellement sont insuffisantes. Sous réserve d’une vitamine C de bonne qualité et si vous n’avez pas les problèmes de santé cités plus haut).

Ce qui ne gâche rien, la vitamine C améliore le métabolisme des graisses : il ne faudrait pas s’en priver.

 

Conseil n°4 : Réchauffez-vous:

  • Bouillottes,
  • Bains chauds (suivis d’une douche fraîche),
  • Sauna,
  • Hammam,
  • Sport, tout est bon pour vous réchauffer.

 

Je vous rappelle que si votre corps est à 37° en moyenne, quand on est de nature frileux, il est plutôt aux alentours de 36.5°c.

Or, votre foie et vos reins filtrent à 41°… En hiver ils peinent. Couvrez-vous bien et offrez-leur de la chaleur.

Il y a une époque pas si lointaine après tout, où il était courant de mettre des ceintures de flanelles autour de la taille pour maintenir nos organes au chaud. Une autre bonne façon de garder sa chaleur corporelle avec du polaire autour de la taille par exemple.

 

Conseil n°5 :  stretching et/ou auto massages 

Si vous n’avez pas envie de sortir pour faire du sport, faites des étirements doux ou des auto massages

Cela préparera vos muscles pour le moment où vous serez prête à vous remettre en mouvement.

Vous pouvez aussi essayer des sports doux comme :

  • le Qi cong,
  • le yoga,
  • le pilate,
  • le tai chi
  • le wutao

 

Toutes ces disciplines allient étirement et renforcement musculaire tout en douceur et font chauffer le corps en permettant la circulation énergétique.

 

Si vous appliquez ces 5 conseils durant deux à trois semaines, les frimas de février ne seront rien pour vous et vous serez plus fort(e) pour tenir l’hiver en pleine vitalité.

 

Et pour donner un coup de pouce supplémentaire je vous invite à relire l’article sur les bienfaits de la positivité  en cliquant ICI.

 

 

 

Categories
Corps émotionnel Corps spirituel

Fréquence vibratoire et bien-être sans stress

 

Parfois dans la vie, on a le sentiment de croiser des gens du même univers que nous. Des humains, différents des autres, qui vivent sur la même longueur d’onde, ou dans la même illusion.

Agnès Ledig (Juste avant le bonheur)

 

 

Et vous, sur quelle fréquence vibrez-vous ?

 

Le vibratoire fait partie intégrante de notre vie. Et tout notre corps répond à ces fréquences diverses qui nous traversent au quotidien.

Notre cerveau lui-même en fonction de nos activités vibre sur des fréquences différentes.

 

Le son et la fréquence des sons ont une influence directe sur notre bien-être et/ou notre mal-être.

Pour imager cela, voici des liens vers deux séquences de musiques. [1]

Par sa sonorité provoque soit une sensation de malaise, d’angoisse et de vertiges :

 

                Lien : https://www.youtube.com/watch?v=AVBIziFmMmk&feature=youtu.be

 

Soit une sensation de bien être et d’harmonie avec paix et joie intérieure, en harmonisant les deux hémisphères de notre cerveau :

 

                Lien : https://www.youtube.com/watch?v=faWCDdMYw4c&feature=youtu.be

 

 

Dans notre corps, la science utilise beaucoup de méthodes pour mesurer les fréquences que nous émettons et notamment au niveau cérébral :

  • Electro-encéphalogramme
  • Rythme cardiaque
  • Tension artérielle
  • Tension musculaire
  • Température de la peau
  • Test de l’attention.

 

La fréquence est comme pour les émissions de radios, une émission d’ondes qui permet de recevoir une information.

 

On divise les ondes cérébrales en 5 catégories, selon leur niveau de fréquence.

 

Ces ondes émises à des fréquences différentes dans notre cerveau, nous permettent donc de recevoir des informations différentes pour notre corps.

  • Ondes Gamma
  • Ondes Beta
  • Ondes Alpha
  • Ondes Theta
  • Ondes Delta

 

1- Ondes Gamma :

Elles ont une fréquence en 50 et 100Hz. C’est la plus haute fréquence que peut émettre (à ce jour découvert) notre cerveau.

C’est un état de pleine conscience.

Cette fréquence permet (grâce aux expériences faites sur des singes, en observant les vibrations qu’ils émettaient en fonction des sollicitations proposées), la cognition, soit la capacité d’apprentissage, et la conscience des événements et des objets qui nous entourent , de traiter l’information reçue et le stockage de cette information dans notre mémoire.

 

Les ondes Gamma favorisent :

  • La créativité
  • Le dynamisme mental
  • L’attention et la coordination
  • Le développement du potentiel cérébral
  • La suppression des blocages psychologiques.

 

Stimuler nos ondes Gamma permet d’améliorer toutes ces capacités (expérience réalisée sur des enfants de 6 à 17 ans et qui ont vus leurs résultats scolaires s’améliorer).

 

Pour ce faire voici un lien qui permet cette stimulation grâce à une musique émettant cette fréquence :

                Lien : https://www.youtube.com/watch?v=smnFGMjGFP4

 

2- Ondes Beta :

Elles ont une fréquence entre 12 et 27 Hz. Ce sont aussi des ondes de pleine conscience.

Ces ondes sont présentes quand nous sommes dans un parfait état d’éveil et en pleine possession de nos moyens (physiques et psychologiques). C’est l’état mental dans lequel nous sommes en journée.

Elles sont directement liées à ce que nous sommes en train de faire, de penser, ou de ressentir.

Un manque d’activité de ces ondes peut provoquer des troubles émotionnels pouvant aller jusqu’à la dépression, l’insomnie ou l’hyperactivité.

Elles peuvent être aussi liés à des états d’excitation forte. Certains médicaments réduisant l’hyper activité, mettent le cerveau sur la fréquence Beta.

 

Leur stimulation améliore :

  • La concentration
  • L’apprentissage
  • La mémorisation
  • La résolution de problèmes
  • Le passage à l’action
  • La réduction de l’état de fatigue

 

Lien : https://www.youtube.com/watch?v=HA6nSQawROM

 

3- Les ondes Alpha :

Elles ont une fréquence entre 8 et 12 Hz. Elles sont émises quand nous sommes éveillés et détendus.

Un état de détente et de calme intérieur génère des ondes Alpha. Elles peuvent donner une sensation de flottement.

Elles sont révélatrices d’un état d’esprit créatif.

 

Ces ondes réduisent :

  • Le stress et l’anxiété
  • Soulage les douleurs
  • Améliore la mémoire

 

Elles favorisent :

  • La relaxation
  • La détente
  • Les pensées calmes et positives
  • La visualisation mentale
  • Le soulagement des douleurs (chronique ou passagères)

 

Cette fréquence est atteinte en état méditatif. Dès que nous fermons les yeux les ondes Alpha apparaissent t commencent à se répandre dans le cortex cérébral.

 

Ce mécanisme de détente fait aussi partie du processus de relaxation avant l’endormissement.

                Lien : https://www.youtube.com/watch?v=5VI78Q27RaI

 

4- Les ondes Theta

Elles ont une fréquence entre 3 et 8 Hz. Elles sont émises quand nous sommes détendus et en état de sommeil léger.

Elles sont liées à la relaxation et aux premiers stades de sommeil.

 

Elles favorisent :

  • La méditation profonde
  • Les rêves
  • L’état hypnotique
  • La diminution du stress et de l’anxiété
  • La maîtrise des peurs et des réactions émotionnelles excessives

 

La stimulation de ces ondes nous mettent dans un état d’hypnose qui permet de réduire l’anxiété, mais permettent aussi une meilleure plasticité cérébrale, un meilleur sommeil. Leur émission correspondant à l’état 1 du sommeil, dit sommeil léger.

 

Un état méditatif zen permet l’émission de ces ondes Theta.

                Lien : https://www.youtube.com/watch?v=z8T0sq4cdSc

 

5- Les ondes Delta :

Elles ont une fréquence entre 0.2 et 3 Hz. Elles sont émises quand nous sommes en état de sommeil profond.

Elles sont émises aux stades 3 et 4 du sommeil.

 

La stimulation par ces ondes de très basses fréquences ont permis de constater une amélioration :

  • Des migraines (14 migraines sur 15 après une stimulation de 5 minutes)
  • De l’anxiété (+26.3% d’amélioration)
  • Une meilleure qualité de sommeil et une réduction sensible de la sensation de fatigue.
  • Une augmentation du système immunitaire
  • La récupération mentale et physique

 

Stimuler ces ondes quand nous sommes éveillés a montré des avantages supplémentaires de détente et de relaxation et le soulagement de certains types de douleurs.

                Lien : https://www.youtube.com/watch?v=yb5mIZm5bcQ

 

Conclusion :

La découverte des ondes cérébrales est assez récente, toutefois l’entrainement du cerveau existe au travers des chants, de la musique, des tambours depuis des millénaires.

Les scientifiques tels que Tesla ont montré que tout est vibration et que tout ce qui nous entoure est énergie vibratoire.

 

Pour aller plus loin :

Il existe sur internet des musiques qui permettent de se mettre sur différentes fréquences et que j’utilise quand je ressens le besoin de ré-harmoniser mon corps et mon cerveau.

Grâce à la fréquence d’une musique, il est possible de se mettre en résonance avec nos cellules et de permettre ainsi une sécrétion hormonale apaisante et relaxante ou stimulante en fonction de nos besoins du moment.

 

Une expérience sur les végétaux avait montré que la musique de Mozart accélérait la croissance des plantes qui « l’écoutait » vibratoirement bien sûr.

Il en est de même pour nous. En nous branchant sur les différentes fréquences vibratoires de notre corps, nous changeons notre chimie intérieure.

 

Une musique comme celle, ci-dessous, qui émet une musique à une fréquence de 432Hz, va permettre la sécrétion d’endorphine, et de sérotonine, et ainsi diminuer le stress et l’anxiété.

 

                Lien : https://www.youtube.com/watch?v=5Fq1Q-jGw08

Cette fréquence de 432Hz étant celle de notre planète.

 

Il existe des fréquences encore plus hautes comme celle de l’amour par exemple qui nous fait vibrer à 528Hz quand nous sommes dans un état d’amour, et influence là encore notre chimie interne. C’est une fréquence qui a une véritable influence sur nos cellules et notre ADN.

 

                Lien : https://www.youtube.com/watch?v=SNykLYJYles

 

Bonnes Résonances et bien-être à vous.

 

Ref :
[1] Alex michel : tout savoir sur les ondes cérébrales – pouvoir énergétique – les fréquences sacrées
Categories
Alimentation

Un hiver avec vitalité et énergie sans surpoids

L’hiver est le temps du réconfort, de la bonne nourriture, du contact avec une main bienveillante et d’une conversation près du feu : il est le temps de la maison.

Edith Sitwell

 

Avec l’arrivée de l’hiver et des fêtes de fin d’année, il est difficile de rester en forme. Plutôt envie de rester au chaud au coin du feu, de grignoter pour se faire du bien ou encore de profiter des fêtes et de ses repas en famille sans limites.

Ceci a souvent pour conséquences, des infections, des rhumes, ….. et quelques kilos en plus sur la balance.

Pour vous aider à passer un hiver avec sérénité et vitalité, voici mes astuces :

 

Astuce numéro 1 : Manger des protéines

Les protéines ne sont pas stockées par notre organisme et il est donc nécessaire d’en apporter suffisamment à notre corps en prenant des protéines de très bonne qualité.

En quantité suffisante et qui respecte l’environnement tant de l’animal que du végétal. En effet, il n’est pas nécessaire de se gaver de protéines pour garder la ligne. Au contraire cela fatigue et encrasse le corps quand elles sont consommées en excès.

Longue à digérer, elles permettent une meilleure satiété et boost le métabolisme en prenant soin de votre système immunitaire.

 

Astuce numéro 2 : Eviter de terminer son assiette à tout prix

Nous jetons en moyenne 20 kilos de déchets alimentaires par personne et par an.

Manger en trop grande quantité, en plus de faire grossir, oblige l’organisme à amener plus d’énergie sur la digestion ce qui au début de l’hiver empêche l’organisme de mettre son énergie sur la défense des infections.

Prévoir ses menus pour éviter le gaspillage et surtout la bonne quantité dans l’assiette permet de lutter contre le surpoids et le gaspillage.

 

 

Astuce numéro 3  : Manger des amandes

Excellente pour apporter de la satiété et grâce à ces micronutriments et une meilleure défense de notre organisme. Toutefois en petite quantité, et sans grignotage permanent.

Riche en fibres et en protéines rassasiantes, anti-cholestérol, plein de micronutriments :

  • calcium
  • magnésium
  • vitamine E, elles sont plus intéressantes que des chips ou petits gâteaux.

Toutefois elles renferment 50 % de lipides il est donc conseillé de ne pas dépasser 20 à 30 grammes par jour.

 

Astuce numéro 4 : Manger plus qu’une salade au déjeuner 

On croit bien faire en prenant une salade plutôt qu’un repas mais l’intérêt n’est pas si évident.

Les salades peuvent être pauvre en féculents ou en protéines et donc peu rassasiantes.

Cela peut entraîner un grignotage 2h après le repas

Il est donc préférable d’équilibrer son repas avec un mélange légumes(crus et cuits)/ féculents et une protéine.

Ce qui évitera baisse d’énergie et du système immunitaire.

 

 Astuce numéro 5 : Eviter les produits transformés 

Même s’ils facilitent la vie, ils sont plus riches en sucre, en gras, en additif et en sel.

Composants qui amènent ;

  • surpoids
  • rétention d’eau
  • encrasse l’organisme et ont donc un impact néfaste sur le système immunitaire.

 

Astuce numéro 6 : Eviter les produits allégés 

Les produits allégés souvent trop dépourvus de matières grasses sont enrichis en sucre. Ils sont nettement plus acides et contiennent souvent plus d’additif.

Conséquences on a tendance à en manger deux fois plus pour se rassasier et leur digestion devient difficile du fait de leur acidité.

Cette acidité encrasse l’organisme et diminue le système immunitaire ce qui rend le terrain plus propice à la propagation des bactéries.

 

 

Astuces numéro 7 : Eviter des sodas light

Quand on boit un soda light le cerveau enregistre la saveur sucrée.

Mais comme il n’y a rien qui arrive dans le sang, une envie de sucre apparaît une heure après. Ceci entraîne des variations d’hyper et hypoglycémies successives qui épuise le pancréas et le système immunitaire.

 

Boire ce type de boisson entretien l’attirance pour le sucre et des études ont montré qu’elles augmentent le risque de diabète.

L’acidité des sodas en règle générale favorise là encore un terrain propice aux infections et une baisse du système immunitaire.

 

 

Astuce numéro 8 : Espacer les repas festifs

 

Les fêtes de fin d’année approchent et avec elles leur cortège de repas qui se succèdent sur une semaine.

Cette succession, plus l’effet groupe augmente automatiquement les quantités dans l’assiette qui entraîne souvent une prise de poids pendant les fêtes et également une recrudescence des rhumes, gastro et autres maladies infectieuses.

 

Maladies souvent associées à la saison, mais les gros repas fatiguent aussi l’organisme et favorisent le développement bactérien cause plus juste de ces infections par chute de vitalité du système immunitaire.

 

 

Astuce numéro 9 : Sauter un déjeuner avant un gros dîner 

Même si on est invité pour un gros dîner il est important pour ne pas risquer de compenser et de manger plus, de prendre un déjeuner léger.

Prendre son déjeuner normalement permettra d’éviter une surcharge au dîner avec une digestion plus lourde dans la nuit source de fatigue et de baisse d’énergie.

Mieux vaut dans ce cas, éviter le petit déjeuner du lendemain matin pour laisser le temps au corps de finir cette digestion plus importante que d’habitude.

 

Astuce numéro 10 : Ne pas dormir suffisamment 

Le manque de sommeil favorise le surpoids par augmentation de sécrétion de la ghreline,  hormone de l’appétit et moins de leptine hormone de la satiété.

Il est donc important d’avoir au moins 7 heures de sommeil.

Il est possible de compléter avec des micro-sieste de 10 minutes.

 

 

Astuce numéro 11 :  Expérimenter et ne pas croire tout ce qu’on vous dit

On se laisse facilement influencer par les messages publicitaires, les bons conseils des amis, le dernier régime à la mode où ce qu’on lit dans un article blog ( même le mien que vous êtes en train de lire),

Toute personne étant unique ce qui marche avec l’un(e) peut ne pas forcément marcher avec l’autre.

 

Notre corps sait se faire comprendre, il est donc important d’être à son écoute et à l’écoute des sensations que nous procure les aliments.

 

Si la prise de tel aliment nous ballonne ou cet autre nous fait prendre du poids ou cet autre nous épuise car trop dur à digérer, il est important d’écouter ses sensations et de les bannir de notre alimentation ou peut être de le manger différemment.

 

Un bilan alimentaire peut aider à déterminer ces troubles et leurs causes.

Bon appétit et très bon hiver

 

 

Categories
Corps spirituel

Le féminin en Soi

 

Je ne suis pas ce qui m’est arrivé, je suis ce que je décide de devenir.

Carl Jung

 

 

 

Quand je suis née, j’étais désirée garçon… en grandissant je suis devenue garçon manqué et j’ai développé mon masculin… d’autant plus que l’on avait blessé mon féminin.

Arrivée à l’adolescence la façon de vivre de mes parents, m’a fait avoir une autre injonction…. ne pas être dépendance d’un homme pour subvenir à mes besoins… ce qui a renforcé la guerrière et le masculin en moi.

 

Toutefois pour vivre en équilibre nous avons besoin de trouver ce qui nous complète…. et mon conjoint est arrivé dans ma vie et qui chemine à mes côté depuis 37 ans… ayant un féminin plus développé.

Cela a convenu à ma Volonté masculine de programmer ma vie selon mon mental et non selon mon être intérieur.

 

Jusqu’à 42 ans cela a tenu la route

 

Et mon être intérieur, mon âme s’est mise à pleurer… je me suis sentie malheureuse et triste…. signe de la sagesse que j’étais sur la mauvaise route d’une vie heureuse et bonne.

Pourtant j’avais tout pour être heureuse…. Un mari aimant, des enfants épanouis, un travail bien rémunéré et intéressant…. et pourtant il manquait quelque chose que mon corps dans sa souffrance quotidienne (douleurs articulaires et digestives) exprimait avec de plus en plus de force.

Cette prise de conscience, m’a ouverte sur l’extérieur, sur l’altruisme envers les autres, le don de soi, part féminine en moi qui voulait s’exprimer et vivre.

Toutefois, la guerrière et son masculin était toujours là….

 

Et au fil de mon évolution consciente et « éveillée », soit depuis 12 ans maintenant, La Femme a voulu retrouver sa place… sans supplanter le masculin, mais Etre en équilibre et en harmonie avec lui.

 

Cette quête, je l’ai trouvé dans différentes activités : les cours que je donne à mes mamies ou dans le tai chi dans sa partie bien être, opposée au côté martial…. mais je n’arrivais pas le trouver en Moi….

 

en 2014 grâce à un burn out, j’ai découvert que je pouvais être vulnérable sans perdre ma force intérieure.

 

 

Créer et développer mon activité professionnelle de naturopathe et facilitatrice de vie, a encore mis la Femme en retrait et fait ressortir la guerrière…. et je me suis rendu compte que les personnes qui venaient me voir, avait la même problématique que la mienne à cause de leur masculin trop développer….

On ne peut transmettre que ce que l’on expérimente et ce que l’on vit…. Comment aider des femmes, à trouver leur féminin quand sur beaucoup de plans j’étais encore dans ce masculin dominant ?

Toutefois, j’ai pris encore conscience que :

 

c’est toute ma féminité qui a crée ce que je donne et transmets aujourd’hui avec sensibilité, générosité, bienveillance et guidance.

 

Expression de ce féminin que nous portons toutes en nous et que j’ai la joie de transmettre aussi dans le cadre d’un cercle de femme crée spécialement avec tout mon Féminin intérieur.

 

Toute cette recherche a permis l’émergence de cette Femme en moi, qui accepte de s’aimer telle qu’elle est ; forte et vulnérable à la fois.

Qui donne avec amour et aide les autres à se trouver elles-mêmes.

Cette Femme qui accepte de se faire confiance, en développant cette sensibilité qui a toujours été là et pourtant rejetée car signe de faiblesse…Alors que c’est la plus grande force que l’on peut avoir en soi en tant que Femme.

 

Cette Femme qui accepte ses peurs, qui permet au masculin dominant en Soi, de lâcher prise et laisse au Féminin le droit de se dévoiler et de vivre….

 

Équilibre de deux forces de vies.

 

Oui, j’accepte d’être cette Femme qui guide avec force et vulnérabilité, afin d’aider au mieux de ses capacités d’autres femmes à se révélées.

 

Au début de cette année je suis allée en Laponie où j’ai observé la façon des « mucher » d’atteler un traîneau et j’ai compris quelque chose, sur ma mission de vie et cet équilibre du féminin- masculin en Soi.

 

Au plus près du traîneau, on place les mâles forts… certains sont calmes et posés et d’autres un peu fous et impatients de courir.

Au milieu celui qui n’est pas mur, que l’on ne peut cataloguer, mâle ou femelle dans son comportement qui n’a pas la force et ne peut tirer ou la capacité de mener.

Devant des femelles, car elles savent le chemin et celle de tête qui sait calmer celui du milieu et diriger ceux de derrière.

L’autre femelle prend appui souvent pendant la course sur cette femelle de tête meneuse.

 

Pour plaisanter, le conjoint d’un couple d’amis m’a souvent comparé à cette femme meneuse, mais par l’exemple de ce qu’elle dégage…. Cela m’a fait plaisir et fait prendre conscience de cet équilibre entre le féminin qui veille et calme et le masculin en soi qui mène et guide.

 

Alors Oui, nous avons toutes besoin de cet équilibre Yin-Yang en nous…A la fois dans l’action et dans la captation.

Et tout ce chemin parcouru pendant ces 55 dernières années me donne la joie et le bonheur de pouvoir le partager et le transmettre aujourd’hui …..

 

Merci la vie.